Intitulé " Building your future with print ", ce rapport est la cinquième édition d'une série d'enquêtes indépendantes dans lesquelles Canon analyse les tendances et opportunités en matière d'imprimé. Dans ses constatations générales, il montre qu'il existe une saine demande d'imprimé en tant que médium de communication et que seuls de légers signes de recul ont été perceptibles sur les deux dernières années. 62 % des donneurs d'ordres utilisent l'imprimé pour leurs campagnes médias. Du côté des prestataires de services d'impression (PSP) toutefois, ils sont 80 % à reconnaître la nécessité pour eux de changer pour pouvoir répondre aux besoins futurs des clients. Lors du premier rapport Canon Insight de 2008, ils n'étaient que 8 %.

Les acheteurs d'imprimés disent que le " print " offre encore et toujours des avantages uniques, mais ils sont 38 % à s'attendre à une baisse probable de son utilisation. Les imprimeurs vont devoir continuer à travailler dur pour promouvoir les valeurs du médium imprimé et empêcher la migration vers des alternatives virtuelles perçues comme plus mesurables et traçables.

À peine 56 % des donneurs d'ordres disent être informés des nouvelles possibilités proposées par leur imprimeur. Il reste donc une marge d'amélioration pour les prestataires en termes de marketing propre et d'autopromotion.

Le Web-to-Print est le segment qui présente la plus forte hausse, avec une croissance de 50 % par rapport à 2012. Près d'un client sur trois utilise ce type de services. En revanche, 39 % des clients ne sont pas au courant de leur disponibilité.

Une possibilité serait d'étendre l'offre de services avec des médias non imprimés. Aujourd'hui, 68 % des prestataires disent recourir à des communications multicanal. C'est 10 % de plus sur deux ans de temps. Toutefois, seulement 20 % de tous les prestataires disent assurer la coordination des campagnes multicanal.

L'une des constatations intéressantes est peut-être que, si 80 % des imprimeurs commerciaux et internes reconnaissent la nécessité de changer, la plupart d'entre eux ne disposent pas d'un planning structuré pour l'avenir. À peine 48 % des imprimeries commerciales et 32 % des centres d'impression internes ont établi un plan marketing ou un plan de développement pour leur activité. Et lorsque celui-ci existe, la moitié seulement dit le réexaminer régulièrement.

Le rapport s'appuie sur plus de 550 entretiens téléphoniques avec des décideurs (275 imprimeurs commerciaux et internes, et 277 acheteurs d'imprimés et de médias de toutes tailles) de différents secteurs d'activité dans 25 pays d'Europe, du Moyen-Orient et d'Afrique. En plus de fournir des recommandations pour un avenir plus fort, le rapport donne une indication des compétences qui seront attendues demain de la part des prestataires des services d'impression.

Intitulé " Building your future with print ", ce rapport est la cinquième édition d'une série d'enquêtes indépendantes dans lesquelles Canon analyse les tendances et opportunités en matière d'imprimé. Dans ses constatations générales, il montre qu'il existe une saine demande d'imprimé en tant que médium de communication et que seuls de légers signes de recul ont été perceptibles sur les deux dernières années. 62 % des donneurs d'ordres utilisent l'imprimé pour leurs campagnes médias. Du côté des prestataires de services d'impression (PSP) toutefois, ils sont 80 % à reconnaître la nécessité pour eux de changer pour pouvoir répondre aux besoins futurs des clients. Lors du premier rapport Canon Insight de 2008, ils n'étaient que 8 %.Les acheteurs d'imprimés disent que le " print " offre encore et toujours des avantages uniques, mais ils sont 38 % à s'attendre à une baisse probable de son utilisation. Les imprimeurs vont devoir continuer à travailler dur pour promouvoir les valeurs du médium imprimé et empêcher la migration vers des alternatives virtuelles perçues comme plus mesurables et traçables.À peine 56 % des donneurs d'ordres disent être informés des nouvelles possibilités proposées par leur imprimeur. Il reste donc une marge d'amélioration pour les prestataires en termes de marketing propre et d'autopromotion.Le Web-to-Print est le segment qui présente la plus forte hausse, avec une croissance de 50 % par rapport à 2012. Près d'un client sur trois utilise ce type de services. En revanche, 39 % des clients ne sont pas au courant de leur disponibilité.Une possibilité serait d'étendre l'offre de services avec des médias non imprimés. Aujourd'hui, 68 % des prestataires disent recourir à des communications multicanal. C'est 10 % de plus sur deux ans de temps. Toutefois, seulement 20 % de tous les prestataires disent assurer la coordination des campagnes multicanal.L'une des constatations intéressantes est peut-être que, si 80 % des imprimeurs commerciaux et internes reconnaissent la nécessité de changer, la plupart d'entre eux ne disposent pas d'un planning structuré pour l'avenir. À peine 48 % des imprimeries commerciales et 32 % des centres d'impression internes ont établi un plan marketing ou un plan de développement pour leur activité. Et lorsque celui-ci existe, la moitié seulement dit le réexaminer régulièrement.Le rapport s'appuie sur plus de 550 entretiens téléphoniques avec des décideurs (275 imprimeurs commerciaux et internes, et 277 acheteurs d'imprimés et de médias de toutes tailles) de différents secteurs d'activité dans 25 pays d'Europe, du Moyen-Orient et d'Afrique. En plus de fournir des recommandations pour un avenir plus fort, le rapport donne une indication des compétences qui seront attendues demain de la part des prestataires des services d'impression.