Tout comme lors de la première édition, le programme des exposés visait à permettre aux professionnels des arts graphiques de découvrir de nouvelles perspectives et de bénéficier des nécessaires mises à niveau. L'accent était mis sur la qualité des présentations, ce que le public a fortement apprécié. Il ne restait plus un siège de libre pour les sessions parallèles sur les standards PDF, l'influence de la lumière sur l'imprimé et les tendances et développements dans l'industrie graphique.

Nouveaux modèles économiques

Les conférenciers vedettes ont également été écoutés avec beaucoup d'intérêt. Paul Peeters, lead expert chez Agoria, a donné le coup d'envoi avec une présentation passionnante sur l'industrie manufacturière en Belgique. Quoi que bien vivante, celle-ci fait face à d'énormes défis. Bien des certitudes de jadis se sont envolées et ont fait place à toutes sortes de nouvelles questions tournant autour des délais de livraison toujours plus serrés, de la manière de combiner grands volumes et courts tirages et de l'entrepreneuriat durable. Mais les nouveaux défis offrent aussi leur lot d'opportunités, et Peeters a exposé un certain nombre d'exemples d'entreprises qui ont fait leur modèle économique des évolutions récentes.

La présentation de Lode Uytterschaut, cofondateur de Startit@kbc, était au moins aussi captivante. Son explication sur la naissance des startups a jeté un éclairage limpide sur la problématique des entreprises grandes et moins grandes. Les sociétés existantes ont beaucoup à apprendre de la force et de la vivacité des jeunes pousses.

Neil Felton, CEO de Fespa, a introduit la présentation de Christian Duyckaerts, premier président belge de Fespa. S'appuyant sur une avalanche de chiffres, Duyckaerts a démontré que l'industrie du sign est toujours en croissance et qu'elle le restera encore dans les années à venir.

Le très spectaculaire designer Rizon Parein a clôturé le programme de séminaires. Ce créateur 3D a pour commanditaires les marques les plus connues au monde, pour lesquelles il réalise des illustrations incroyablement détaillées, ressemblant à de vrais objets. Parein a donné un aperçu intéressant de la pratique quotidienne du designer et de ses relations parfois tendues avec les donneurs d'ordres.

Clignotants

Entre les keynotes, on pouvait aller et venir dans les différentes sessions parallèles, avec notamment les présentations susmentionnées. La contribution de Burt Riské, general manager de Roularta Business Information, sur les " Clignotants de la faillite " a également été très appréciée des visiteurs. Riské a énuméré les signaux qui donnent à penser qu'une entreprise est en difficulté. Cette information revêt une importance capitale pour les fournisseurs désireux de se maintenir en dehors de la zone de danger.

Une grande diversité de sujets ont ainsi été abordés dans les diverses salles, fort à propos désignées aux noms des couleurs standard des encres d'imprimerie. Le renforcement de leur réseau de relations constituait toutefois un volet tout aussi attrayant de l'événement pour beaucoup de visiteurs. On se pressait ainsi autour des stands et beaucoup ont poursuivi leurs échanges le soir, bien après la distribution des Awards.

Nous reviendrons plus en détail sur Get Smart in Printmedia Business dans le prochain numéro de Nouvelles Graphiques.

Tout comme lors de la première édition, le programme des exposés visait à permettre aux professionnels des arts graphiques de découvrir de nouvelles perspectives et de bénéficier des nécessaires mises à niveau. L'accent était mis sur la qualité des présentations, ce que le public a fortement apprécié. Il ne restait plus un siège de libre pour les sessions parallèles sur les standards PDF, l'influence de la lumière sur l'imprimé et les tendances et développements dans l'industrie graphique.Les conférenciers vedettes ont également été écoutés avec beaucoup d'intérêt. Paul Peeters, lead expert chez Agoria, a donné le coup d'envoi avec une présentation passionnante sur l'industrie manufacturière en Belgique. Quoi que bien vivante, celle-ci fait face à d'énormes défis. Bien des certitudes de jadis se sont envolées et ont fait place à toutes sortes de nouvelles questions tournant autour des délais de livraison toujours plus serrés, de la manière de combiner grands volumes et courts tirages et de l'entrepreneuriat durable. Mais les nouveaux défis offrent aussi leur lot d'opportunités, et Peeters a exposé un certain nombre d'exemples d'entreprises qui ont fait leur modèle économique des évolutions récentes.La présentation de Lode Uytterschaut, cofondateur de Startit@kbc, était au moins aussi captivante. Son explication sur la naissance des startups a jeté un éclairage limpide sur la problématique des entreprises grandes et moins grandes. Les sociétés existantes ont beaucoup à apprendre de la force et de la vivacité des jeunes pousses.Neil Felton, CEO de Fespa, a introduit la présentation de Christian Duyckaerts, premier président belge de Fespa. S'appuyant sur une avalanche de chiffres, Duyckaerts a démontré que l'industrie du sign est toujours en croissance et qu'elle le restera encore dans les années à venir.Le très spectaculaire designer Rizon Parein a clôturé le programme de séminaires. Ce créateur 3D a pour commanditaires les marques les plus connues au monde, pour lesquelles il réalise des illustrations incroyablement détaillées, ressemblant à de vrais objets. Parein a donné un aperçu intéressant de la pratique quotidienne du designer et de ses relations parfois tendues avec les donneurs d'ordres.Entre les keynotes, on pouvait aller et venir dans les différentes sessions parallèles, avec notamment les présentations susmentionnées. La contribution de Burt Riské, general manager de Roularta Business Information, sur les " Clignotants de la faillite " a également été très appréciée des visiteurs. Riské a énuméré les signaux qui donnent à penser qu'une entreprise est en difficulté. Cette information revêt une importance capitale pour les fournisseurs désireux de se maintenir en dehors de la zone de danger.Une grande diversité de sujets ont ainsi été abordés dans les diverses salles, fort à propos désignées aux noms des couleurs standard des encres d'imprimerie. Le renforcement de leur réseau de relations constituait toutefois un volet tout aussi attrayant de l'événement pour beaucoup de visiteurs. On se pressait ainsi autour des stands et beaucoup ont poursuivi leurs échanges le soir, bien après la distribution des Awards.Nous reviendrons plus en détail sur Get Smart in Printmedia Business dans le prochain numéro de Nouvelles Graphiques.