Heidelberg se voit ouvrir l'accès à la technologie inkjet de Fujifilm, qui pourra en retour faire appel au savoir-faire du constructeur allemand de presses d'imprimerie en matière d'ingénierie et de fabrication. La collaboration se focalise sur des produits de nouvelle génération pour le marché attrayant de l'impression numérique. L'accord permet aussi aux partenaires d'accéder à leurs technologies respectives dans le secteur du prépresse.

Gerold Linzbach, directeur général d'Heidelberg, a déclaré compter sur le jet d'encre pour jouer rapidement un rôle dans le segment à hauts volumes du marché. Heidelberg entend devenir un acteur important au niveau mondial et tabler sur un chiffre d'affaires de plus de 200 millions d'euros dans ce segment, d'ici trois ans.

Fujifilm, de son côté, voit de nouvelles possibilités pour la technologie mise en oeuvre dans la Jet Press 720, sa presse de format B2. Celle-ci a été construite autour d'une machine Ryobi.

Heidelberg, qui a déjà voulu par le passé se doter de sa propre technologie d'impression jet d'encre ou numérique (peut-être basée sur la technologie de CSAT, qu'elle a rachetée en son temps ?), a travaillé en ce sens avec Landa (serait-ce la fin annoncée de la coopération avec l'inventeur israélien de la presse nanographique ?), à moins qu'elle ne développe son propre procédé à toner liquide.

La coopération avec Ricoh (les Ricoh C901 et C751, vendues sous le label Heidelberg Linoprint) est un succès, mais ces machines ne sont intéressantes que pour une petite partie du marché sur lequel les clients d'Heidelberg sont actifs. L'accord passé avec Fujifilm cible les imprimeries industrielles traitant de gros volumes de production.

Heidelberg se voit ouvrir l'accès à la technologie inkjet de Fujifilm, qui pourra en retour faire appel au savoir-faire du constructeur allemand de presses d'imprimerie en matière d'ingénierie et de fabrication. La collaboration se focalise sur des produits de nouvelle génération pour le marché attrayant de l'impression numérique. L'accord permet aussi aux partenaires d'accéder à leurs technologies respectives dans le secteur du prépresse. Gerold Linzbach, directeur général d'Heidelberg, a déclaré compter sur le jet d'encre pour jouer rapidement un rôle dans le segment à hauts volumes du marché. Heidelberg entend devenir un acteur important au niveau mondial et tabler sur un chiffre d'affaires de plus de 200 millions d'euros dans ce segment, d'ici trois ans.Fujifilm, de son côté, voit de nouvelles possibilités pour la technologie mise en oeuvre dans la Jet Press 720, sa presse de format B2. Celle-ci a été construite autour d'une machine Ryobi. Heidelberg, qui a déjà voulu par le passé se doter de sa propre technologie d'impression jet d'encre ou numérique (peut-être basée sur la technologie de CSAT, qu'elle a rachetée en son temps ?), a travaillé en ce sens avec Landa (serait-ce la fin annoncée de la coopération avec l'inventeur israélien de la presse nanographique ?), à moins qu'elle ne développe son propre procédé à toner liquide.La coopération avec Ricoh (les Ricoh C901 et C751, vendues sous le label Heidelberg Linoprint) est un succès, mais ces machines ne sont intéressantes que pour une petite partie du marché sur lequel les clients d'Heidelberg sont actifs. L'accord passé avec Fujifilm cible les imprimeries industrielles traitant de gros volumes de production.