Trennfeld est l'un des huit sites de production de KBA répartis en Allemagne, en Autriche et en République tchèque. L'usine, où travaillent 220 personnes, assure le montage d'éléments pour rotatives de presse et rotatives commerciales. La quasi-totalité du personnel devrait être reclassé à Würzburg, à environ 25 km de là.

KBA a déjà mené des opérations de restructuration et ajusté ses capacités de production ces dernières années. Les effectifs ont été réduits et les activités de plusieurs usines ont été rationnalisées. Le constructeur s'attend toutefois à ce que le marché des rotatives poursuivre son recul au cours des trois prochaines années au moins.

" La décision d'intégrer l'usine de Trennfeld n'a pas été facile à prendre, a commenté le CEO du groupe, Claus Bolza-Schünemann. D'un point de vue économique, il était toutefois insensé de maintenir deux usines sous-utilisées. (...) Grâce à cette relocalisation et au rapprochement avec les activités de construction et de fabrication, nous espérons une simplification des processus et d'importantes économies. "

KBA, qui vient d'aligner trois trimestres de bénéfices opérationnels et a renoué avec les bénéfices nets, prévoit d'achever 2012 sur un chiffre d'affaires supérieur à 1,2 milliard d'euros (en progression de 2 à 3 %) et un bénéfice " à deux chiffres " exprimé en millions d'euros.

Trennfeld est l'un des huit sites de production de KBA répartis en Allemagne, en Autriche et en République tchèque. L'usine, où travaillent 220 personnes, assure le montage d'éléments pour rotatives de presse et rotatives commerciales. La quasi-totalité du personnel devrait être reclassé à Würzburg, à environ 25 km de là. KBA a déjà mené des opérations de restructuration et ajusté ses capacités de production ces dernières années. Les effectifs ont été réduits et les activités de plusieurs usines ont été rationnalisées. Le constructeur s'attend toutefois à ce que le marché des rotatives poursuivre son recul au cours des trois prochaines années au moins. " La décision d'intégrer l'usine de Trennfeld n'a pas été facile à prendre, a commenté le CEO du groupe, Claus Bolza-Schünemann. D'un point de vue économique, il était toutefois insensé de maintenir deux usines sous-utilisées. (...) Grâce à cette relocalisation et au rapprochement avec les activités de construction et de fabrication, nous espérons une simplification des processus et d'importantes économies. "KBA, qui vient d'aligner trois trimestres de bénéfices opérationnels et a renoué avec les bénéfices nets, prévoit d'achever 2012 sur un chiffre d'affaires supérieur à 1,2 milliard d'euros (en progression de 2 à 3 %) et un bénéfice " à deux chiffres " exprimé en millions d'euros.