Herwig Kempenaers: " On comprend tout de suite de quoi il retourne en consultant le site Web remis à neuf (www.historischedrukkerij.be). L'Imprimerie historique s'appuie désormais sur trois piliers. Le premier, le musée physique, continue de proposer des visites bimensuelles gratuites. Le deuxième est une base de données en ligne, riche de plusieurs milliers de documents et photos (actuellement 6 500 documents) tirés de ma collection privée, et qui ont un rapport proche ou lointain avec l'histoire de l'imprimerie. Le troisième pilier sur lequel l'Imprimerie historique s'appuie pour l'avenir s'articulera autour d'expositions en ligne, qui alterneront tous les trois mois. Les chercheurs ou partenaires extérieurs peuvent également fournir des textes à cet effet. "

Voici vingt ans, Herwig Kempenaers a commencé à collectionner tout ce qui avait trait à l'évolution du métier d'imprimeur au XIXe siècle et au début du XXe. Dix années plus tard, il a ouvert le musée, qui peut être visité gratuitement une fois tous les quinze jours, grâce au concours de bénévoles. Aujourd'hui, avec la digitalisation, la collection privée peut être partagée avec le monde entier.

Herwig Kempenaers: " On comprend tout de suite de quoi il retourne en consultant le site Web remis à neuf (www.historischedrukkerij.be). L'Imprimerie historique s'appuie désormais sur trois piliers. Le premier, le musée physique, continue de proposer des visites bimensuelles gratuites. Le deuxième est une base de données en ligne, riche de plusieurs milliers de documents et photos (actuellement 6 500 documents) tirés de ma collection privée, et qui ont un rapport proche ou lointain avec l'histoire de l'imprimerie. Le troisième pilier sur lequel l'Imprimerie historique s'appuie pour l'avenir s'articulera autour d'expositions en ligne, qui alterneront tous les trois mois. Les chercheurs ou partenaires extérieurs peuvent également fournir des textes à cet effet. "Voici vingt ans, Herwig Kempenaers a commencé à collectionner tout ce qui avait trait à l'évolution du métier d'imprimeur au XIXe siècle et au début du XXe. Dix années plus tard, il a ouvert le musée, qui peut être visité gratuitement une fois tous les quinze jours, grâce au concours de bénévoles. Aujourd'hui, avec la digitalisation, la collection privée peut être partagée avec le monde entier.