L'initiative est née d'un coup de fil de Katrien Maes (GuidoMaes.Printingdeluxe.*****) et Stephan Delabie (Delabiebooks) à Nouvelles Graphiques. L'une et l'autre faisaient état de problèmes de finition supplémentaires avec les livres collés ou cousus présentant un fort taux d'encrage sur des papiers couchés de plus fort grammage. Febelgra a saisi la balle au bond et étendu la plate-forme de discussion en conviant d'autres parties prenantes de l'industrie graphique autour de la table.

L'une des doléances était que le massicotage trilatéral laisse beaucoup plus de poussière, ce qui est encore plus perceptible sur les imprimés présentant des aplats sombres. Ou alors, la colle casse au dos entre deux cahiers, ce qui nécessite plusieurs passages de colle ou le renforcement du dos par collage d'une languette de carton. Soit, dans un cas comme dans l'autre, du travail en plus qui ne peut pas être répercuté sur le client. L'hypothèse serait que l'industrie papetière a graduellement modifié la composition de son papier.

Un représentant du secteur dit que les qualités de papier ont en fait été améliorées, car ceux-ci sont désormais conçus pour pouvoir être imprimés sur des presses rapides à 18 000 feuilles/heure. En outre, le rôle des encres et des vernis doit lui aussi être étudié.

Le fabricant de papiers spéciaux présent dans le groupe souligne que les sortes de papier plus chères ne posent pas de problèmes. Encore faut-il que le client accepte d'y mettre le prix. Et de faire remarquer que celui des qualités de papier standard a tellement baissé que les fabricants sont bien obligés d'envisager des compositions plus rentables.

L'une des conclusions finales est que si les qualités de papier sont testées du point de vue de leur " imprimabilité " et de leur " machinabilité " dans la presse, ce n'est pas le cas de leur comportement au façonnage, alors qu'elles doivent supporter des forces importantes à ce stade.

Febelgra et le VIGC vont voir si le sujet " qualité du papier et façonnage " peut constituer le thème d'un projet de recherche. Les entreprises de production vont établir une liste des qualités de papier qui posent régulièrement, rarement ou jamais de problèmes. Affaire à suivre.

Entreprises et organismes représentés autour de la table : Fedrigoni, Delabiebooks, GuidoMaes.Printingdeluxe.*****, Mathildestudios, Antilope, Stevens Print, Imprimerie Pattyn, VIGC, Antalis, StoraEnso, Trapaca, Scheufelen, Febelgra et Nouvelles Graphiques.

L'initiative est née d'un coup de fil de Katrien Maes (GuidoMaes.Printingdeluxe.*****) et Stephan Delabie (Delabiebooks) à Nouvelles Graphiques. L'une et l'autre faisaient état de problèmes de finition supplémentaires avec les livres collés ou cousus présentant un fort taux d'encrage sur des papiers couchés de plus fort grammage. Febelgra a saisi la balle au bond et étendu la plate-forme de discussion en conviant d'autres parties prenantes de l'industrie graphique autour de la table.L'une des doléances était que le massicotage trilatéral laisse beaucoup plus de poussière, ce qui est encore plus perceptible sur les imprimés présentant des aplats sombres. Ou alors, la colle casse au dos entre deux cahiers, ce qui nécessite plusieurs passages de colle ou le renforcement du dos par collage d'une languette de carton. Soit, dans un cas comme dans l'autre, du travail en plus qui ne peut pas être répercuté sur le client. L'hypothèse serait que l'industrie papetière a graduellement modifié la composition de son papier.Un représentant du secteur dit que les qualités de papier ont en fait été améliorées, car ceux-ci sont désormais conçus pour pouvoir être imprimés sur des presses rapides à 18 000 feuilles/heure. En outre, le rôle des encres et des vernis doit lui aussi être étudié.Le fabricant de papiers spéciaux présent dans le groupe souligne que les sortes de papier plus chères ne posent pas de problèmes. Encore faut-il que le client accepte d'y mettre le prix. Et de faire remarquer que celui des qualités de papier standard a tellement baissé que les fabricants sont bien obligés d'envisager des compositions plus rentables.L'une des conclusions finales est que si les qualités de papier sont testées du point de vue de leur " imprimabilité " et de leur " machinabilité " dans la presse, ce n'est pas le cas de leur comportement au façonnage, alors qu'elles doivent supporter des forces importantes à ce stade.Febelgra et le VIGC vont voir si le sujet " qualité du papier et façonnage " peut constituer le thème d'un projet de recherche. Les entreprises de production vont établir une liste des qualités de papier qui posent régulièrement, rarement ou jamais de problèmes. Affaire à suivre.Entreprises et organismes représentés autour de la table : Fedrigoni, Delabiebooks, GuidoMaes.Printingdeluxe.*****, Mathildestudios, Antilope, Stevens Print, Imprimerie Pattyn, VIGC, Antalis, StoraEnso, Trapaca, Scheufelen, Febelgra et Nouvelles Graphiques.