61 % des Belges professionnellement actifs trouvent intéressante l'idée de travailler avec le moins de papier possible. Mais en même temps, ils doutent de la faisabilité d'un bureau où les iPad et autres écrans rendraient les imprimantes largement superflues. Les travailleurs belges impriment encore aujourd'hui une moyenne de 17 pages par jour. Un total bien supérieur à celui de leurs collègues néerlandais (9 pages/jour), mais en-deçà de celui de leurs homologues allemands (25 pages/jour).

Le pourcentage de Belges qui estiment l'idée d'un bureau sans papier réaliste est presque identique à celui de ceux qui utilisent Internet sur leur smartphone ou leur tablette : environ 43 %. Cette proportion est supérieure à la moyenne européenne, qui est de 35 %.

Un grand plus du numérique est, selon la population active belge, la simplicité avec laquelle les documents peuvent être partagés. Plus de 85 % se disent convaincus qu'il est plus facile de distribuer les présentations, rapports et dossiers sous forme électronique que sur papier. En revanche, le bureau sans papier présenterait de multiples inconvénients : une large majorité (63 %) trouve plus facile d'apposer sa signature sur papier qu'à l'écran d'une tablette ou d'un smartphone. Plus de la moitié (52 %) indiquent aussi que le fait d'avoir les documents physiques sur le bureau permet de mieux estimer ce qu'il reste à faire. En dépit de la digitalisation croissante du lieu de travail, près de trois quarts des actifs belges considèrent que l'imprimante doit encore avoir sa place au bureau.

Les actifs allemands sont encore plus conservateurs : 38 % seulement trouvent le bureau sans papier réaliste. Les Néerlandais sont en revanche beaucoup plus positifs : plus de 85 % pensent que le bureau sans papier sera un jour une réalité.

À propos de l'enquête

Viadesk a interrogé 415 répondants, dont 207 femmes, en Belgique, début 2014. Ce sondage avait été réalisé aux Pays-Bas et en Allemagne en 2013. La plupart (77 %) des participants à cette enquête ont un temps-plein. La moyenne d'âge est de près de 41 ans. Tout comme pour les participants néerlandais et allemands, le panel présente un haut niveau d'éducation. Les données du questionnaire ont été comparées à celles qui avaient été collectées auprès des Néerlandais et des Allemands en 2013.

61 % des Belges professionnellement actifs trouvent intéressante l'idée de travailler avec le moins de papier possible. Mais en même temps, ils doutent de la faisabilité d'un bureau où les iPad et autres écrans rendraient les imprimantes largement superflues. Les travailleurs belges impriment encore aujourd'hui une moyenne de 17 pages par jour. Un total bien supérieur à celui de leurs collègues néerlandais (9 pages/jour), mais en-deçà de celui de leurs homologues allemands (25 pages/jour).Le pourcentage de Belges qui estiment l'idée d'un bureau sans papier réaliste est presque identique à celui de ceux qui utilisent Internet sur leur smartphone ou leur tablette : environ 43 %. Cette proportion est supérieure à la moyenne européenne, qui est de 35 %.Un grand plus du numérique est, selon la population active belge, la simplicité avec laquelle les documents peuvent être partagés. Plus de 85 % se disent convaincus qu'il est plus facile de distribuer les présentations, rapports et dossiers sous forme électronique que sur papier. En revanche, le bureau sans papier présenterait de multiples inconvénients : une large majorité (63 %) trouve plus facile d'apposer sa signature sur papier qu'à l'écran d'une tablette ou d'un smartphone. Plus de la moitié (52 %) indiquent aussi que le fait d'avoir les documents physiques sur le bureau permet de mieux estimer ce qu'il reste à faire. En dépit de la digitalisation croissante du lieu de travail, près de trois quarts des actifs belges considèrent que l'imprimante doit encore avoir sa place au bureau. Les actifs allemands sont encore plus conservateurs : 38 % seulement trouvent le bureau sans papier réaliste. Les Néerlandais sont en revanche beaucoup plus positifs : plus de 85 % pensent que le bureau sans papier sera un jour une réalité. À propos de l'enquêteViadesk a interrogé 415 répondants, dont 207 femmes, en Belgique, début 2014. Ce sondage avait été réalisé aux Pays-Bas et en Allemagne en 2013. La plupart (77 %) des participants à cette enquête ont un temps-plein. La moyenne d'âge est de près de 41 ans. Tout comme pour les participants néerlandais et allemands, le panel présente un haut niveau d'éducation. Les données du questionnaire ont été comparées à celles qui avaient été collectées auprès des Néerlandais et des Allemands en 2013.