L'issue était pratiquement devenue inévitable, après qu'ING eut laissé jusqu'au mardi 14 avril au siège Benelux de PaperlinX pour trouver un repreneur à l'entreprise. Les efforts en ce sens n'ayant pas abouti, la banque a décidé de couper le robinet des crédits avec effet immédiat. Il ne restait donc plus au management qu'à demander un sursis de paiement. Celui-ci a été converti en faillite, avec comme curateur, l'administrateur judiciaire Bert Jansen, du cabinet Dommerholt Advocaten.

Le sursis de paiement du 14 avril était, pour le CEO de PaperlinX, Andy Preece, l'ultime option restante, après l'échec des tentatives de vente.

La maison mère de PaperlinX Benelux, qui est le siège britannique du grossiste en papeterie, avait déjà demandé la surséance en début de mois, mais la filiale néerlandaise avait obtenu un délai de son créancier ING pour tenter de revendre l'entreprise.

Selon le CEO Andy Preece, le siège Benelux se débat dans de gros problèmes depuis cinq ans déjà, au point que l'entreprise, malgré des apports financiers présentés comme importants, était devenue impossible à rentabiliser. Les pertes substantielles et récurrentes s'expliquent, selon Preece, par l'affaiblissement de la demande de papier, des défis liés à la restructuration, les conditions de paiement consécutives à la résiliation de l'assurance-crédit, et les conséquences du sursis de paiement de la maison mère britannique.

Cette situation est par ailleurs sans conséquence pour la holding PaperlinX, les implantations britannique et Benelux étant découplées financièrement du grossiste d'origine australienne.

Source : PaperlinX, Graficus

Ndlr : une cinquantaine de personnes travaillent chez PaperlinX Belgium, une division de PaperlinX Benelux, situé à Lierre (papier et emballage) et Kapellen (sign & display). Pour la continuité, d'autres événements en attente sont prévus.

L'issue était pratiquement devenue inévitable, après qu'ING eut laissé jusqu'au mardi 14 avril au siège Benelux de PaperlinX pour trouver un repreneur à l'entreprise. Les efforts en ce sens n'ayant pas abouti, la banque a décidé de couper le robinet des crédits avec effet immédiat. Il ne restait donc plus au management qu'à demander un sursis de paiement. Celui-ci a été converti en faillite, avec comme curateur, l'administrateur judiciaire Bert Jansen, du cabinet Dommerholt Advocaten. Le sursis de paiement du 14 avril était, pour le CEO de PaperlinX, Andy Preece, l'ultime option restante, après l'échec des tentatives de vente.La maison mère de PaperlinX Benelux, qui est le siège britannique du grossiste en papeterie, avait déjà demandé la surséance en début de mois, mais la filiale néerlandaise avait obtenu un délai de son créancier ING pour tenter de revendre l'entreprise. Selon le CEO Andy Preece, le siège Benelux se débat dans de gros problèmes depuis cinq ans déjà, au point que l'entreprise, malgré des apports financiers présentés comme importants, était devenue impossible à rentabiliser. Les pertes substantielles et récurrentes s'expliquent, selon Preece, par l'affaiblissement de la demande de papier, des défis liés à la restructuration, les conditions de paiement consécutives à la résiliation de l'assurance-crédit, et les conséquences du sursis de paiement de la maison mère britannique.Cette situation est par ailleurs sans conséquence pour la holding PaperlinX, les implantations britannique et Benelux étant découplées financièrement du grossiste d'origine australienne.Source : PaperlinX, GraficusNdlr : une cinquantaine de personnes travaillent chez PaperlinX Belgium, une division de PaperlinX Benelux, situé à Lierre (papier et emballage) et Kapellen (sign & display). Pour la continuité, d'autres événements en attente sont prévus.