RSG vient de présenter des chiffres semestriels qui, selon le groupe, rendaient une telle mesure nécessaire. Le groupe Roto Smeets dans son ensemble occupe 1.600 personnes. RSG a fait part d'un recul de son chiffre d'affaires aussi bien que de son résultat. "Le contexte économique difficile se traduit par une baisse de chiffre d'affaires à 141 millions d'euros au premier semestre, contre 158,3 millions pour la même période en 2011." La raison principale de cette baisse, indique le groupe, résiderait dans le fait que l'on a produit davantage pour des clients achetant leur papier en direct - et plus particulièrement pour des clients étrangers.

La valeur ajoutée au premier semestre 2012 est inférieure de 3,4 millions d'euros à celle du premier semestre 2011 (75,7 millions), ce qui est principalement dû à une baisse du volume. Le résultat opérationnel (EBIT) se traduit par une perte de 2,7 millions, contre un bénéfice de 600.000 euros l'année dernière à pareille époque. Le résultat net accuse une perte de 3,2 millions d'euros (perte d'un million d'euros au premier semestre 2011). Le flux de trésorerie des activités opérationnelles s'élève à 11 millions (8,3 millions au premier semestre 2011). L'EBITDA a chuté de 4,2 millions, à 7,7 millions d'euros (11,9 millions au premier semestre 2011).

La surcapacité persiste

RSG ne s'attend pas à des changements significatifs parmi les acteurs du marché d'Europe occidentale au cours du prochain semestre, de sorte que la surcapacité ne devrait pas baisser. "Cette situation persistante aura encore un effet négatif sur les marges et donc sur les résultats financiers." Les mêmes marges seront encore mises sous pression par la hausse des prix de l'énergie et des matières premières. "La hausse des coûts des matières premières et des consommables augmentent les coûts opérationnels qui, sur un marché soumis à forte pression sur les prix, ne peuvent être répercutés vers les clients. De fortes fluctuations peuvent provoquer une hausse des coûts, une baisse des revenus et avoir par conséquent un impact négatif sur la position financière de RSG. L'évolution des prix sur ces marchés est trop versatile pour que des prévisions réalistes puissent être exprimées pour les six prochains mois."

(Sources : Graficus (Pays-Bas) et Roto Smeets Groep)

RSG vient de présenter des chiffres semestriels qui, selon le groupe, rendaient une telle mesure nécessaire. Le groupe Roto Smeets dans son ensemble occupe 1.600 personnes. RSG a fait part d'un recul de son chiffre d'affaires aussi bien que de son résultat. "Le contexte économique difficile se traduit par une baisse de chiffre d'affaires à 141 millions d'euros au premier semestre, contre 158,3 millions pour la même période en 2011." La raison principale de cette baisse, indique le groupe, résiderait dans le fait que l'on a produit davantage pour des clients achetant leur papier en direct - et plus particulièrement pour des clients étrangers. La valeur ajoutée au premier semestre 2012 est inférieure de 3,4 millions d'euros à celle du premier semestre 2011 (75,7 millions), ce qui est principalement dû à une baisse du volume. Le résultat opérationnel (EBIT) se traduit par une perte de 2,7 millions, contre un bénéfice de 600.000 euros l'année dernière à pareille époque. Le résultat net accuse une perte de 3,2 millions d'euros (perte d'un million d'euros au premier semestre 2011). Le flux de trésorerie des activités opérationnelles s'élève à 11 millions (8,3 millions au premier semestre 2011). L'EBITDA a chuté de 4,2 millions, à 7,7 millions d'euros (11,9 millions au premier semestre 2011).La surcapacité persisteRSG ne s'attend pas à des changements significatifs parmi les acteurs du marché d'Europe occidentale au cours du prochain semestre, de sorte que la surcapacité ne devrait pas baisser. "Cette situation persistante aura encore un effet négatif sur les marges et donc sur les résultats financiers." Les mêmes marges seront encore mises sous pression par la hausse des prix de l'énergie et des matières premières. "La hausse des coûts des matières premières et des consommables augmentent les coûts opérationnels qui, sur un marché soumis à forte pression sur les prix, ne peuvent être répercutés vers les clients. De fortes fluctuations peuvent provoquer une hausse des coûts, une baisse des revenus et avoir par conséquent un impact négatif sur la position financière de RSG. L'évolution des prix sur ces marchés est trop versatile pour que des prévisions réalistes puissent être exprimées pour les six prochains mois." (Sources : Graficus (Pays-Bas) et Roto Smeets Groep)