L'alliance entre les deux constructeurs pourrait prendre la forme d'une collaboration poussée, dans le développement et la production en commun de nouvelles machines, ou aller jusqu'à la constitution d'une joint-venture où ils fusionneraient leurs activités en offset plano.

Ryobi et Mitsubishi invoquent la baisse de la demande dans les pays développés et la nécessité de rester compétitifs. Leurs gammes de presses à feuilles paraissent très complémentaires : Ryobi est bien implanté dans les formats A3 et B2, tandis que Mitsubishi est surtout présent dans le format B1. En outre, Ryobi possède déjà l'expérience de collaborations avec divers partenaires dont Presstek, Miyakoshi ou encore Fujifilm, pour qui l'entreprise construit des châssis, voire des presses complètes.

Ryobi et Mitsubishi sont deux groupes industriels diversifiés, avec des activités dans différents secteurs, dont celui des arts graphiques. La division Paper & Packaging Machinery de Mitsubishi a réalisé un chiffre d'affaires de 350 millions d'euros et 15 millions d'euros de bénéfice opérationnel lors du dernier exercice fiscal (clôturé en mars 2012). Ces chiffres comprennent toutefois les rotatives et les machines de façonnage, qui ne sont pas concernées par la lettre d'intention.

Sur la même période, Ryobi a enregistré un chiffre d'affaires de 1,34 milliard d'euros et 62 millions d'euros de bénéfice opérationnel au niveau du groupe, dont 142 millions d'euros de chiffre d'affaires pour les machines d'impression. Au premier semestre de l'exercice 2012-2013, Ryobi a toutefois vu ses ventes de presses reculer de 20 %, avec une perte avoisinant les 6 millions d'euros.

L'alliance entre les deux constructeurs pourrait prendre la forme d'une collaboration poussée, dans le développement et la production en commun de nouvelles machines, ou aller jusqu'à la constitution d'une joint-venture où ils fusionneraient leurs activités en offset plano. Ryobi et Mitsubishi invoquent la baisse de la demande dans les pays développés et la nécessité de rester compétitifs. Leurs gammes de presses à feuilles paraissent très complémentaires : Ryobi est bien implanté dans les formats A3 et B2, tandis que Mitsubishi est surtout présent dans le format B1. En outre, Ryobi possède déjà l'expérience de collaborations avec divers partenaires dont Presstek, Miyakoshi ou encore Fujifilm, pour qui l'entreprise construit des châssis, voire des presses complètes. Ryobi et Mitsubishi sont deux groupes industriels diversifiés, avec des activités dans différents secteurs, dont celui des arts graphiques. La division Paper & Packaging Machinery de Mitsubishi a réalisé un chiffre d'affaires de 350 millions d'euros et 15 millions d'euros de bénéfice opérationnel lors du dernier exercice fiscal (clôturé en mars 2012). Ces chiffres comprennent toutefois les rotatives et les machines de façonnage, qui ne sont pas concernées par la lettre d'intention. Sur la même période, Ryobi a enregistré un chiffre d'affaires de 1,34 milliard d'euros et 62 millions d'euros de bénéfice opérationnel au niveau du groupe, dont 142 millions d'euros de chiffre d'affaires pour les machines d'impression. Au premier semestre de l'exercice 2012-2013, Ryobi a toutefois vu ses ventes de presses reculer de 20 %, avec une perte avoisinant les 6 millions d'euros.