Grâce à l'impression 3D et à la découpe laser, il existe à présent des techniques qui permettent de personnaliser la production de manière poussée, afin de se différencier. Il subsiste néanmoins encore un problème: automatiser tout ce processus et le rendre évolutif. C'est pour répondre à ce besoin qu'est née Twikit, une jeune entreprise qui tente avec son Twikbot de résoudre le problème.

"Twikbot est une plateforme logicielle qui vous permet de personnaliser vos produits: vous découvrez aussitôt le modèle 3D de votre création, vous pouvez alors y effectuer des adaptations et, enfin, la plateforme en réalise un fichier numérique prêt pour la production", déclare le marketing manager Zorko Huljic. "Le système est aussi conçu de telle manière qu'il puisse s'intégrer impeccablement à votre boutique web et à votre flux ERP."

Twikit propose Twikbot sous la forme d'une application SaaS, pour laquelle les clients versent un forfait mensuel. "Nous ciblons surtout les secteurs innovants", ajoute Huljic. "C'est ainsi que nous sommes déjà actifs dans le secteur automobile, où notre outil permet de concevoir des éléments personnalisés, mais aussi dans le secteur de la construction, où le fabricant de portes Portapivot utilise par exemple notre logiciel. Et puis, il y a encore plusieurs marques de bijoux qui recourent à Twikbot pour différencier leurs créations. Pour toucher davantage de clients, nous fonctionnons tant en inbound, en proposant du contenu sur notre site web permettant aux visiteurs d'apprendre à connaître notre software, qu'en outbound, en nous tournant vers les décideurs dans des secteurs intéressants."

Twikit a été fondée en 2012 avec des fonds propres, mais elle a reçu un an plus tard déjà un soutien d'un montant de 50.000 euros de la part de l'IMEC louvaniste. En 2015, Buysse & Partners se chargèrent d'une augmentation de capital d'1 million d'euros, alors que Vlaio lui a fourni aussi des subsides d'innovation. "Nous préparons actuellement une nouvelle phase de capitalisation pour pouvoir accélérer le mouvement", conclut Huljic.

Matthieu Van Steenkiste, Datanews

Grâce à l'impression 3D et à la découpe laser, il existe à présent des techniques qui permettent de personnaliser la production de manière poussée, afin de se différencier. Il subsiste néanmoins encore un problème: automatiser tout ce processus et le rendre évolutif. C'est pour répondre à ce besoin qu'est née Twikit, une jeune entreprise qui tente avec son Twikbot de résoudre le problème."Twikbot est une plateforme logicielle qui vous permet de personnaliser vos produits: vous découvrez aussitôt le modèle 3D de votre création, vous pouvez alors y effectuer des adaptations et, enfin, la plateforme en réalise un fichier numérique prêt pour la production", déclare le marketing manager Zorko Huljic. "Le système est aussi conçu de telle manière qu'il puisse s'intégrer impeccablement à votre boutique web et à votre flux ERP."Twikit propose Twikbot sous la forme d'une application SaaS, pour laquelle les clients versent un forfait mensuel. "Nous ciblons surtout les secteurs innovants", ajoute Huljic. "C'est ainsi que nous sommes déjà actifs dans le secteur automobile, où notre outil permet de concevoir des éléments personnalisés, mais aussi dans le secteur de la construction, où le fabricant de portes Portapivot utilise par exemple notre logiciel. Et puis, il y a encore plusieurs marques de bijoux qui recourent à Twikbot pour différencier leurs créations. Pour toucher davantage de clients, nous fonctionnons tant en inbound, en proposant du contenu sur notre site web permettant aux visiteurs d'apprendre à connaître notre software, qu'en outbound, en nous tournant vers les décideurs dans des secteurs intéressants."Twikit a été fondée en 2012 avec des fonds propres, mais elle a reçu un an plus tard déjà un soutien d'un montant de 50.000 euros de la part de l'IMEC louvaniste. En 2015, Buysse & Partners se chargèrent d'une augmentation de capital d'1 million d'euros, alors que Vlaio lui a fourni aussi des subsides d'innovation. "Nous préparons actuellement une nouvelle phase de capitalisation pour pouvoir accélérer le mouvement", conclut Huljic.Matthieu Van Steenkiste, Datanews