La nouvelle étude sur les opercules pelables optimaux pour les emballages soumis à des processus thermiques a été lancée à grande échelle. À côté des deux universités belges et de l'IVV Fraunhofer à Dresde, quatre organismes officiels sont impliqués : Flanders'Food, ILVO, Pack4Food et Essenscia. En outre, quinze entreprises flamandes et treize allemandes - pour le moment - développent une collaboration active à la recherche. Parmi elles : aussi bien des fournisseurs de granulats de plastique que des transformateurs, des fabricants de produits alimentaires ou encore des constructeurs de machines d'emballage. L'étude, disent ses promoteurs, est aussi susceptible d'intéresser les producteurs pharmaceutiques, qui peuvent également y prêter leur concours. Le but concret des chercheurs d'ici fin 2020 est de mettre à la disposition des entreprises un mode d'emploi clair, grâce auquel elles pourront choisir la feuille d'operculage pelable la plus adéquate pour l'emballage de leur produit. Le responsable européen est Bart De Ketelaere, de l'Université de Leuven, tandis que le Prof. Roos Peters, de l'Université de Hasselt, est responsable pour la Flandre.
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Quel opercule pelable pour hautes et basses températures ?
Quel est le matériau soudable optimal pour l'operculage d'un emballage destiné à être exposé aussi bien à la chaleur qu'au froid ? Telle est la question centrale d'une recherche à grande échelle entamée le 1er janvier 2019. À la manoeuvre : le VerpakkingsCentrum/IMO-IMOMEC de l'Université de Hasselt, la division Mécatronique, Biostatistique et Capteurs (MeBioS) de la KU Leuven et l'Institut allemand Fraunhofer pour l'ingénierie des procédés et l'emballage (IVV), à Dresde.
