Agfa-Gevaert a réalisé en 2012 un chiffre d'affaires de 3,09 milliards d'euros, en hausse de 2,2 % par rapport à l'année précédente. Le résultat d'exploitation récurrent a également suivi une courbe ascendante : +7,8 % pour l'EBIT (à 139 millions d'euros) et +3,2 % pour l'EBITDA (à 225 millions d'euros). Toutefois, les éléments non-opérationnels, coûts de restructuration et charges liées aux pensions, continuent à peser sur les résultats. Ils ont entraîné une perte nette de 31 millions d'euros, cependant nettement inférieure à celle de 2011 (-71 millions d'euros).

Les divisions Agfa Graphics et Agfa HealthCare ont toutes deux contribué à la croissance du groupe. Agfa Graphics affiche une hausse de 3,5 % de son chiffre d'affaires, à 1,65 milliards d'euros, tandis que l'EBITDA récurrent a progressé de 3,9 %, à 91 millions d'euros, et l'EBIT récurrent de plus de 10 %, à 53,1 millions d'euros. Agfa précise que le segment du jet d'encre industriel a enregistré une croissance " à deux chiffres ", toutefois ralentie au quatrième trimestre par la faiblesse de l'économie européenne. Dans le segment du prépresse, la croissance du volume a été altérée par la pression sur les prix. L'activité CtP a encore souffert des conditions économiques en Europe, mais son chiffre d'affaires a augmenté dans le reste du monde. Les améliorations opérationnelles ont toutefois été grevées par la pression concurrentielle et les effets négatifs des matières premières.

Commentant les résultats du groupe, le CEO Christian Reinaudo a déclaré qu'il ferait " tout ce qui est nécessaire " pour poursuivre la transformation de l'entreprise. Son objectif est de porter à 10 % la marge EBITDA dans un délai de 4 à 5 ans (contre 7,3 % en 2012). Dans un article paru jeudi dernier, le quotidien De Tijd traduit " tout ce qui est nécessaire " par une probable restructuration, qui risque de toucher l'usine de Mortsel.

Agfa-Gevaert a réalisé en 2012 un chiffre d'affaires de 3,09 milliards d'euros, en hausse de 2,2 % par rapport à l'année précédente. Le résultat d'exploitation récurrent a également suivi une courbe ascendante : +7,8 % pour l'EBIT (à 139 millions d'euros) et +3,2 % pour l'EBITDA (à 225 millions d'euros). Toutefois, les éléments non-opérationnels, coûts de restructuration et charges liées aux pensions, continuent à peser sur les résultats. Ils ont entraîné une perte nette de 31 millions d'euros, cependant nettement inférieure à celle de 2011 (-71 millions d'euros). Les divisions Agfa Graphics et Agfa HealthCare ont toutes deux contribué à la croissance du groupe. Agfa Graphics affiche une hausse de 3,5 % de son chiffre d'affaires, à 1,65 milliards d'euros, tandis que l'EBITDA récurrent a progressé de 3,9 %, à 91 millions d'euros, et l'EBIT récurrent de plus de 10 %, à 53,1 millions d'euros. Agfa précise que le segment du jet d'encre industriel a enregistré une croissance " à deux chiffres ", toutefois ralentie au quatrième trimestre par la faiblesse de l'économie européenne. Dans le segment du prépresse, la croissance du volume a été altérée par la pression sur les prix. L'activité CtP a encore souffert des conditions économiques en Europe, mais son chiffre d'affaires a augmenté dans le reste du monde. Les améliorations opérationnelles ont toutefois été grevées par la pression concurrentielle et les effets négatifs des matières premières. Commentant les résultats du groupe, le CEO Christian Reinaudo a déclaré qu'il ferait " tout ce qui est nécessaire " pour poursuivre la transformation de l'entreprise. Son objectif est de porter à 10 % la marge EBITDA dans un délai de 4 à 5 ans (contre 7,3 % en 2012). Dans un article paru jeudi dernier, le quotidien De Tijd traduit " tout ce qui est nécessaire " par une probable restructuration, qui risque de toucher l'usine de Mortsel.