Le groupe avait déjà annoncé son intention de se défaire de ces activités en mai de cette année. Il est entré depuis dans des négociations exclusives avec Dedalus et probablement la vente sera-t-elle définitivement conclue au second semestre 2020. Reinaudo : " Avec la cession de cette entité, au CA annuel de 260 millions d'euros, un nouveau jalon va être franchi dans notre processus de transformation. Nous attendons cette nouvelle étape importante avec impatience. "

Agfa HealthCare va continuer de se concentrer sur les solutions d'imagerie, mais dans un entretien avec De Tijd, Reinaudo pointe encore un autre moteur de croissance au sein d'Agfa : " le pilier chimique, avec les encres, et les imprimantes (à jet d'encre) grand format. " À la question de savoir s'il entend renforcer les divisions restantes par le biais d'acquisitions, il a répondu : " Je n'exclus pas des rachats d'entreprise. " Si de bonnes affaires sont à faire aux États-Unis ou au Royaume-Uni, nous nous devons de les examiner. Mais la priorité n'est pas là. Je suis d'avis qu'il vaut mieux redoubler d'efforts dans la recherche-développement pour accélérer. "

Le groupe avait déjà annoncé son intention de se défaire de ces activités en mai de cette année. Il est entré depuis dans des négociations exclusives avec Dedalus et probablement la vente sera-t-elle définitivement conclue au second semestre 2020. Reinaudo : " Avec la cession de cette entité, au CA annuel de 260 millions d'euros, un nouveau jalon va être franchi dans notre processus de transformation. Nous attendons cette nouvelle étape importante avec impatience. "Agfa HealthCare va continuer de se concentrer sur les solutions d'imagerie, mais dans un entretien avec De Tijd, Reinaudo pointe encore un autre moteur de croissance au sein d'Agfa : " le pilier chimique, avec les encres, et les imprimantes (à jet d'encre) grand format. " À la question de savoir s'il entend renforcer les divisions restantes par le biais d'acquisitions, il a répondu : " Je n'exclus pas des rachats d'entreprise. " Si de bonnes affaires sont à faire aux États-Unis ou au Royaume-Uni, nous nous devons de les examiner. Mais la priorité n'est pas là. Je suis d'avis qu'il vaut mieux redoubler d'efforts dans la recherche-développement pour accélérer. "