Alors que des pourparlers étaient encore en cours jeudi aux Pays-Bas avec des candidats potentiels à la reprise des trois imprimeries Roto Smeets faillies, le groupe CMG a annoncé poursuivre sa restructuration "eu égard à la forte contraction des volumes". Oberndorfer Druckerei, en Autriche, a été déclarée en faillite elle aussi, GMG souhaitant par ailleurs se défaire de Corelio, ainsi que des imprimeries allemandes J. Fink Druckerei et Körner Druck (pourtant acquises à la fin de l'année dernière). "Ces entreprises se portent bien et méritent un avenir avec de nouveaux propriétaires", a déclaré le CEO, Peter Andreou. Pour les activités espagnoles de CMG, encore refinancées dernièrement selon Andreou, différentes options sont à l'étude, "dont celle d'un nouvel actionnariat". L'imprimerie Antok, en Hongrie, n'est pas citée dans le communiqué de presse, pas plus que les autres actifs du groupe, comme Dock35 et MPG, aux Pays-Bas, et MPG Concepts, aux États-Unis.

Vendredi dans l'après-midi, on a appris que le curateur des imprimeries Roto Smeets était parvenu à un accord avec les investisseurs néerlandais de Shatho Beheer concernant une relance de l'imprimerie offset Senefelder Misset. Selon le nouveau propriétaire, qui détient également l'imprimerie Habo DaCosta en portefeuille, la période qui vient sera mise à profit pour mettre en place une nouvelle structure : "Celle-ci devrait conserver entre 160 et 180 ETP." Au moment de la faillite, l'imprimerie de Doetinchem employait 280 personnes.

"Seule Senefelder Misset est reprise", a fait savoir le curateur Houtman dans le Gelderlander de vendredi. La clarté sur le sort des deux autres entreprises - l'imprimeur hélio Roto Smeets Deventer et le rotativiste offset Roto Smeets Weert - sera faite la semaine prochaine, a déclaré l'administrateur.

Alors que des pourparlers étaient encore en cours jeudi aux Pays-Bas avec des candidats potentiels à la reprise des trois imprimeries Roto Smeets faillies, le groupe CMG a annoncé poursuivre sa restructuration "eu égard à la forte contraction des volumes". Oberndorfer Druckerei, en Autriche, a été déclarée en faillite elle aussi, GMG souhaitant par ailleurs se défaire de Corelio, ainsi que des imprimeries allemandes J. Fink Druckerei et Körner Druck (pourtant acquises à la fin de l'année dernière). "Ces entreprises se portent bien et méritent un avenir avec de nouveaux propriétaires", a déclaré le CEO, Peter Andreou. Pour les activités espagnoles de CMG, encore refinancées dernièrement selon Andreou, différentes options sont à l'étude, "dont celle d'un nouvel actionnariat". L'imprimerie Antok, en Hongrie, n'est pas citée dans le communiqué de presse, pas plus que les autres actifs du groupe, comme Dock35 et MPG, aux Pays-Bas, et MPG Concepts, aux États-Unis. Vendredi dans l'après-midi, on a appris que le curateur des imprimeries Roto Smeets était parvenu à un accord avec les investisseurs néerlandais de Shatho Beheer concernant une relance de l'imprimerie offset Senefelder Misset. Selon le nouveau propriétaire, qui détient également l'imprimerie Habo DaCosta en portefeuille, la période qui vient sera mise à profit pour mettre en place une nouvelle structure : "Celle-ci devrait conserver entre 160 et 180 ETP." Au moment de la faillite, l'imprimerie de Doetinchem employait 280 personnes. "Seule Senefelder Misset est reprise", a fait savoir le curateur Houtman dans le Gelderlander de vendredi. La clarté sur le sort des deux autres entreprises - l'imprimeur hélio Roto Smeets Deventer et le rotativiste offset Roto Smeets Weert - sera faite la semaine prochaine, a déclaré l'administrateur.