En janvier 2015, l'imprimerie Drukkerij Claes-Roels et l'entreprise de communication The Factory Brussels (anciennement Arte Print) avaient annoncé leur fusion. Entre-temps, l'entreprise a poursuivi ses activités sous un le nouveau nom Daddy Kate. Daddy Kate offre des solutions dans quatre domaines: impression, conception graphique, branding et online. En 2015, les entreprises en fusion annonçaient vouloir continuer à croitre dans les activités d'impression traditionnelle et aspiraient à une forte croissance dans les services de communication. L'entreprise compte quelque 130 collaborateurs, un chiffre d'affaires (opérationnel) de quelque 24,5 millions d'euros et un EBITDA d'environ ? 2,6 millions (chiffres estimés et accumulés pour l'année fiscale 2014). Au second trimestre de l'année suivante, les entreprises entendent construire ensemble un nouveau bâtiment dans les environs de Jette.

L'Imprimerie Boone-Roosens a rejoint en avril de l'année dernière le groupe Graphius, une structure globale, dont Geers Offset et d'autres imprimeries de Flandre orientale ont uni leurs forces. Ces entreprises sont toutes centralisées sur un site unique à Gand (Oostakker) où une intégration verticale s'est déroulée début 2012.

L'entrée de Boone-Roosens représente pour le groupe Graphius un deuxième site de production sur lequel ils peuvent désormais compter, celui de Boone-Roosens à Lot. De là, l'approche client et le service en Belgique du centre et du sud prennent un nouvel élan positif pour tout le groupe.

Avec Boone-Roosens, Graphius a en d'autres mots une tête de pont bruxelloise pour la Région de Bruxelles-Capitale et la Wallonie. L'entrée dans le groupe Graphius offre aussi à Boone-Roossens la possibilité de développer une spécialité dans un marché de niche, celle de l'impression d'étiquettes à colle froide (wet glue).

L'ilot de concentration est la conséquence de la baisse structurelle du marché de l'impression. Aujourd'hui, les partenariats, les investissements et les acquisitions alimentent beaucoup de discussions. Le mouvement de consolidation ne touche pas encore à sa fin.

En janvier 2015, l'imprimerie Drukkerij Claes-Roels et l'entreprise de communication The Factory Brussels (anciennement Arte Print) avaient annoncé leur fusion. Entre-temps, l'entreprise a poursuivi ses activités sous un le nouveau nom Daddy Kate. Daddy Kate offre des solutions dans quatre domaines: impression, conception graphique, branding et online. En 2015, les entreprises en fusion annonçaient vouloir continuer à croitre dans les activités d'impression traditionnelle et aspiraient à une forte croissance dans les services de communication. L'entreprise compte quelque 130 collaborateurs, un chiffre d'affaires (opérationnel) de quelque 24,5 millions d'euros et un EBITDA d'environ ? 2,6 millions (chiffres estimés et accumulés pour l'année fiscale 2014). Au second trimestre de l'année suivante, les entreprises entendent construire ensemble un nouveau bâtiment dans les environs de Jette. L'Imprimerie Boone-Roosens a rejoint en avril de l'année dernière le groupe Graphius, une structure globale, dont Geers Offset et d'autres imprimeries de Flandre orientale ont uni leurs forces. Ces entreprises sont toutes centralisées sur un site unique à Gand (Oostakker) où une intégration verticale s'est déroulée début 2012.L'entrée de Boone-Roosens représente pour le groupe Graphius un deuxième site de production sur lequel ils peuvent désormais compter, celui de Boone-Roosens à Lot. De là, l'approche client et le service en Belgique du centre et du sud prennent un nouvel élan positif pour tout le groupe.Avec Boone-Roosens, Graphius a en d'autres mots une tête de pont bruxelloise pour la Région de Bruxelles-Capitale et la Wallonie. L'entrée dans le groupe Graphius offre aussi à Boone-Roossens la possibilité de développer une spécialité dans un marché de niche, celle de l'impression d'étiquettes à colle froide (wet glue). L'ilot de concentration est la conséquence de la baisse structurelle du marché de l'impression. Aujourd'hui, les partenariats, les investissements et les acquisitions alimentent beaucoup de discussions. Le mouvement de consolidation ne touche pas encore à sa fin.