" Le marché de l'étiquette traverse une période de grands changements ", observe Guy Yogev, Senior Director Product Marketing chez Esko. " L'impression numérique des étiquettes a progressé d'environ 15 % en termes de volume, et entre 40 % et 50 % des presses à étiquettes vendues aujourd'hui sont numériques ou hybrides. Le marché connaît donc clairement une croissance significative. "

" Mais dans un marché aussi volatil, le climat macroéconomique global de crise et de récession accentue la pression sur les marges. Les transformateurs d'étiquettes doivent donc trouver un moyen d'améliorer leur efficacité opérationnelle et de réduire au maximum les déchets ", ajoute-t-il. " Les entreprises cherchent des moyens de diminuer les quantités de matériaux qu'elles utilisent, en limitant les défauts de fabrication, la surproduction et les déchets tout en devant gérer le surcroît de pression lié aux délais de livraison et aux exigences en matière de qualité. "

Inspection des impressions sur les lignes numériques

Pour Esko, les opérateurs sont parfois encore capables d'identifier visuellement les erreurs sur des presses imprimant à 30 mètres par minute. Mais plus la vitesse s'élève, plus le risque d'erreur s'accroît. " Les presses numériques sont de plus en plus rapides, et ce n'est pas le moment de baisser la garde sur la qualité. Ce type d'erreurs peut avoir des conséquences financières énormes. C'est pourquoi nous avons créé une solution d'automatisation complète, qui permet de connecter le prépresse et la production, jusqu'à la finition ", ajoute encore Guy Yogev.

" Par le passé, de nombreuses entreprises ont renoncé à investir dans des solutions d'inspection de l'impression sur leurs lignes numériques en raison des limitations avérées des produits ", déclare Guy Yogev. " Par exemple, il est nécessaire de configurer un système d'inspection pour chaque tirage et les imprimantes numériques impriment généralement plusieurs SKU sur une même bobine. Et dans bien des cas, le design et la commande peuvent changer à la volée sans interrompre la presse. Pour l'inspection, il fallait peut-être autrefois arrêter et réinitialiser le système pour chaque SKU, ce qui créait une barrière en temps réel à l'intégration du système d'inspection. Mais désormais, AutoSet Digital récupère les informations de chaque SKU auprès du serveur Esko Automation Engine et les transmet directement au système d'inspection de l'impression. "

AutoSet Digital s'appuie sur la connectivité entre prépresse, production et finition.

Précision, vitesse et automatisation

AutoSet Digital couvre désormais l'ensemble du flux de production numérique, que l'inspection soit effectuée sur la presse numérique, une presse hybride ou une ligne de finition numérique. Le nouveau flux d'inspection des étiquettes imprimées numériquement associe la précision et la vitesse des systèmes d'inspection AVT Helios aux fonctions d'automatisation AVT offertes par AutoSet Digital. Les opérateurs peuvent charger des travaux et basculer automatiquement entre les tâches, et AVT WorkFlow Link peut enregistrer, analyser et modifier plusieurs travaux sur une même bobine. " Le système installé sur la presse enregistre les défauts et, après la production, le rouleau physique est chargé dans le module de finition avec le rouleau virtuel ", explique Guy Yogev. " Ce rouleau virtuel inclut les défauts enregistrés et localisés sur toute la bande et l'opérateur peut visualiser le rouleau virtuel et y apporter des modifications. Après traitement, le rouleau virtuel mappé transmet automatiquement à l'enrouleur les endroits identifiés où la bande du rouleau physique doit s'arrêter pour permettre la suppression du défaut. Il peut s'agir d'une seule étiquette et d'un défaut isolé, ou de tout un segment si un problème est survenu ", précise Guy Yogev. " L'opérateur peut immédiatement nettoyer le rouleau et corriger l'erreur, ce qui lui permet également d'optimiser son efficacité et consacrant le temps ainsi libéré à d'autres tâches à valeur ajoutée. "

" Le marché de l'étiquette traverse une période de grands changements ", observe Guy Yogev, Senior Director Product Marketing chez Esko. " L'impression numérique des étiquettes a progressé d'environ 15 % en termes de volume, et entre 40 % et 50 % des presses à étiquettes vendues aujourd'hui sont numériques ou hybrides. Le marché connaît donc clairement une croissance significative. "" Mais dans un marché aussi volatil, le climat macroéconomique global de crise et de récession accentue la pression sur les marges. Les transformateurs d'étiquettes doivent donc trouver un moyen d'améliorer leur efficacité opérationnelle et de réduire au maximum les déchets ", ajoute-t-il. " Les entreprises cherchent des moyens de diminuer les quantités de matériaux qu'elles utilisent, en limitant les défauts de fabrication, la surproduction et les déchets tout en devant gérer le surcroît de pression lié aux délais de livraison et aux exigences en matière de qualité. "Pour Esko, les opérateurs sont parfois encore capables d'identifier visuellement les erreurs sur des presses imprimant à 30 mètres par minute. Mais plus la vitesse s'élève, plus le risque d'erreur s'accroît. " Les presses numériques sont de plus en plus rapides, et ce n'est pas le moment de baisser la garde sur la qualité. Ce type d'erreurs peut avoir des conséquences financières énormes. C'est pourquoi nous avons créé une solution d'automatisation complète, qui permet de connecter le prépresse et la production, jusqu'à la finition ", ajoute encore Guy Yogev." Par le passé, de nombreuses entreprises ont renoncé à investir dans des solutions d'inspection de l'impression sur leurs lignes numériques en raison des limitations avérées des produits ", déclare Guy Yogev. " Par exemple, il est nécessaire de configurer un système d'inspection pour chaque tirage et les imprimantes numériques impriment généralement plusieurs SKU sur une même bobine. Et dans bien des cas, le design et la commande peuvent changer à la volée sans interrompre la presse. Pour l'inspection, il fallait peut-être autrefois arrêter et réinitialiser le système pour chaque SKU, ce qui créait une barrière en temps réel à l'intégration du système d'inspection. Mais désormais, AutoSet Digital récupère les informations de chaque SKU auprès du serveur Esko Automation Engine et les transmet directement au système d'inspection de l'impression. "AutoSet Digital couvre désormais l'ensemble du flux de production numérique, que l'inspection soit effectuée sur la presse numérique, une presse hybride ou une ligne de finition numérique. Le nouveau flux d'inspection des étiquettes imprimées numériquement associe la précision et la vitesse des systèmes d'inspection AVT Helios aux fonctions d'automatisation AVT offertes par AutoSet Digital. Les opérateurs peuvent charger des travaux et basculer automatiquement entre les tâches, et AVT WorkFlow Link peut enregistrer, analyser et modifier plusieurs travaux sur une même bobine. " Le système installé sur la presse enregistre les défauts et, après la production, le rouleau physique est chargé dans le module de finition avec le rouleau virtuel ", explique Guy Yogev. " Ce rouleau virtuel inclut les défauts enregistrés et localisés sur toute la bande et l'opérateur peut visualiser le rouleau virtuel et y apporter des modifications. Après traitement, le rouleau virtuel mappé transmet automatiquement à l'enrouleur les endroits identifiés où la bande du rouleau physique doit s'arrêter pour permettre la suppression du défaut. Il peut s'agir d'une seule étiquette et d'un défaut isolé, ou de tout un segment si un problème est survenu ", précise Guy Yogev. " L'opérateur peut immédiatement nettoyer le rouleau et corriger l'erreur, ce qui lui permet également d'optimiser son efficacité et consacrant le temps ainsi libéré à d'autres tâches à valeur ajoutée. "