Extrait du communqué de presse:

Philippe Van Ongevalle est licencié en sciences commerciales et financières. Il a acquis une expérience de manager dans différents secteurs et fut à la tête d'une imprimerie durant une quinzaine d'années. Selon le président Michel Pattyn, il représente la personne idéale pour mettre son cachet sur tout ce qui concerne le monde graphique et pour garantir un service solide aux membres.

En outre, Philippe Van Ongevalle mettra tout en oeuvre dans l'optique d'une possible fusion avec la fédération Fedustria. A cet effet, Febelgra a déjà conclu un accord de coopération pour les matières environnementales et sociales.

Philippe Van Ongevalle est le successeur de Waldo Van de Velde, avec qui le Conseil d'administration a mis fin à la collaboration.

Ndlr:

La fédération graphique est confrontée à des défis importants:

-un déclin structurel de l'industrie,

-qui concerne aussi bien les petites que les grandes entreprises. Avec un modèle de cotisation basé sur le nombre d'employés dans l'entreprise, la part de revenus provenant des grandes entreprises va augmenter. Et la vague de consolidation n'est pas prête de se terminer.

-Il est donc nécessaire de s'ouvrir aux technologies et aux développements de rupture et d'y apporter des réponses adéquates. Le statu quo n'est pas une option.

Ce qui est rassurant de constater est que chaque industrie doit faire face aux développements de rupture: les éditeurs de plateformes mobiles, les annonceurs avec les réseaux sociaux, les commerces avec les boutiques en ligne, etc. Les changements ont toujours existé, y compris dans le secteur graphique. Exemples: la fin de la photogravure a été marquée par les services de PAO des imprimeurs, l'invention du caractère mobile d'imprimerie typographique de Gutenberg a rendu le travail des moines copistes obsolètes, l'intégration de la finition dans les imprimeries a fait perdre du chiffre d'affaires aux imprimeurs... Nous continuons de croire en la capacité d'expansion de nos entreprises graphiques belges fortes et saines malgré la concurrence internationale croissante. A travers leurs investissements, acquisitions et collaborations, elles prouvent - chiffres annuels et réalisations quotidiennes à l'appui - que le vaste secteur graphique offre encore suffisamment d'opportunités.

Extrait du communqué de presse:Philippe Van Ongevalle est licencié en sciences commerciales et financières. Il a acquis une expérience de manager dans différents secteurs et fut à la tête d'une imprimerie durant une quinzaine d'années. Selon le président Michel Pattyn, il représente la personne idéale pour mettre son cachet sur tout ce qui concerne le monde graphique et pour garantir un service solide aux membres.En outre, Philippe Van Ongevalle mettra tout en oeuvre dans l'optique d'une possible fusion avec la fédération Fedustria. A cet effet, Febelgra a déjà conclu un accord de coopération pour les matières environnementales et sociales.Philippe Van Ongevalle est le successeur de Waldo Van de Velde, avec qui le Conseil d'administration a mis fin à la collaboration.Ndlr:La fédération graphique est confrontée à des défis importants:-un déclin structurel de l'industrie,-qui concerne aussi bien les petites que les grandes entreprises. Avec un modèle de cotisation basé sur le nombre d'employés dans l'entreprise, la part de revenus provenant des grandes entreprises va augmenter. Et la vague de consolidation n'est pas prête de se terminer. -Il est donc nécessaire de s'ouvrir aux technologies et aux développements de rupture et d'y apporter des réponses adéquates. Le statu quo n'est pas une option.Ce qui est rassurant de constater est que chaque industrie doit faire face aux développements de rupture: les éditeurs de plateformes mobiles, les annonceurs avec les réseaux sociaux, les commerces avec les boutiques en ligne, etc. Les changements ont toujours existé, y compris dans le secteur graphique. Exemples: la fin de la photogravure a été marquée par les services de PAO des imprimeurs, l'invention du caractère mobile d'imprimerie typographique de Gutenberg a rendu le travail des moines copistes obsolètes, l'intégration de la finition dans les imprimeries a fait perdre du chiffre d'affaires aux imprimeurs... Nous continuons de croire en la capacité d'expansion de nos entreprises graphiques belges fortes et saines malgré la concurrence internationale croissante. A travers leurs investissements, acquisitions et collaborations, elles prouvent - chiffres annuels et réalisations quotidiennes à l'appui - que le vaste secteur graphique offre encore suffisamment d'opportunités.