Extrait du communiqué de presse :

En raison des récentes mesures corona, le secteur Horeca a tiré la sonnette d'alarme et cela a été récemment largement diffusé dans les médias. Et à juste titre, car l'Horeca, tout comme les secteurs de l'événementiel, de la culture et du tourisme, sont à nouveau durement touchés par cette deuxième vague du coronavirus.

Febelgra, la Fédération de l'industrie graphique belge, souligne que trop peu d'attention est accordée aux entreprises sous-traitantes, telles que dans le secteur graphique.

"C'est dur", déclare Marc Vandenbroucke de Febelgra, "parce que certains acteurs de notre secteur sont presque autant touchés car leurs activités dépendent directement de secteurs tels que l'Horeca, la culture et l'événementiel. Cela concerne principalement l'impression commerciale et la conception graphique que nos entrepreneurs fournissent à ces secteurs. Pensez simplement aux sets de tables qui se trouvent sous votre assiette dans un restaurant; aux menus; aux billets et brochures pour toutes sortes d'événements; aux invitations et bien plus encore.

Nous constatons également que nos sous-traitants de la vie publique sont démunis. Les associations de personnes âgées, des familles, des clubs sportifs et culturelles sont limitées depuis longtemps dans leurs activités".

Nous déplorons profondément que l'on n'y ait pas accordé suffisamment d'attention. Récemment (Arrêté Ministériel dd 07.10.2020), la Région wallonne, par exemple, a élargi la prime forfaitaire de compensation de 3500 EUR aux sous-traitants de location de fleurs et de plantes, de textiles, de matériel de restauration et autres.

Mais pourquoi nos entrepreneurs créatifs dans la chaîne de valeur graphique sont-ils toujours oubliés ? Les menaces qui pèsent sur le secteur sont cependant bien connues.

En Flandre également, les autorités politiques y accordent encore trop peu d'attention. Le nouveau mécanisme de protection flamand est le bienvenu, mais n'est qu'une mesure fragmentaire.

Au niveau fédéral, un programme de soutien de 500 moi euros sera prévu. Reste à voir si cela est suffisant pour les secteurs très durement touchés qui sont contraints à présent de fermer.

Mais nous comptons certainement sur le fait que cette fois, notre secteur graphique ne soit pas oublié dans la mise en place, ce qui représente une valeur ajoutée durable en terme économique, social et culturel.

Extrait du communiqué de presse :En raison des récentes mesures corona, le secteur Horeca a tiré la sonnette d'alarme et cela a été récemment largement diffusé dans les médias. Et à juste titre, car l'Horeca, tout comme les secteurs de l'événementiel, de la culture et du tourisme, sont à nouveau durement touchés par cette deuxième vague du coronavirus.Febelgra, la Fédération de l'industrie graphique belge, souligne que trop peu d'attention est accordée aux entreprises sous-traitantes, telles que dans le secteur graphique."C'est dur", déclare Marc Vandenbroucke de Febelgra, "parce que certains acteurs de notre secteur sont presque autant touchés car leurs activités dépendent directement de secteurs tels que l'Horeca, la culture et l'événementiel. Cela concerne principalement l'impression commerciale et la conception graphique que nos entrepreneurs fournissent à ces secteurs. Pensez simplement aux sets de tables qui se trouvent sous votre assiette dans un restaurant; aux menus; aux billets et brochures pour toutes sortes d'événements; aux invitations et bien plus encore.Nous constatons également que nos sous-traitants de la vie publique sont démunis. Les associations de personnes âgées, des familles, des clubs sportifs et culturelles sont limitées depuis longtemps dans leurs activités".Nous déplorons profondément que l'on n'y ait pas accordé suffisamment d'attention. Récemment (Arrêté Ministériel dd 07.10.2020), la Région wallonne, par exemple, a élargi la prime forfaitaire de compensation de 3500 EUR aux sous-traitants de location de fleurs et de plantes, de textiles, de matériel de restauration et autres.Mais pourquoi nos entrepreneurs créatifs dans la chaîne de valeur graphique sont-ils toujours oubliés ? Les menaces qui pèsent sur le secteur sont cependant bien connues.En Flandre également, les autorités politiques y accordent encore trop peu d'attention. Le nouveau mécanisme de protection flamand est le bienvenu, mais n'est qu'une mesure fragmentaire.Au niveau fédéral, un programme de soutien de 500 moi euros sera prévu. Reste à voir si cela est suffisant pour les secteurs très durement touchés qui sont contraints à présent de fermer.Mais nous comptons certainement sur le fait que cette fois, notre secteur graphique ne soit pas oublié dans la mise en place, ce qui représente une valeur ajoutée durable en terme économique, social et culturel.