Le chiffre d'affaires trimestriel (+9 % à 622 millions EUR), l'EBITDA (hors résultat de restructuration) (+28 % à 55 millions EUR) et le carnet de commandes (+1 % à 648 millions EUR) ressortent en hausse. Le principal stimulant pour les activités est venu de la poursuite de la digitalisation des processus de production auprès des imprimeries (pour laquelle Heidelberg propose sa technologie Push-to-Stop), qui génère une progression notamment aux États-Unis et en Chine. Les modèles économiques numériques tels que les abonnements apportent également une contribution positive, tout comme la part croissante du chiffre d'affaires récurrent provenant des activités contractuelles et du commerce électronique. Les activités d'abonnements, par exemple, représentent plus de 10 % du portefeuille de commandes. L'objectif à moyen terme d'Heidelberg est de réduire significativement l'exposition de l'entreprise aux fluctuations économiques en réalisant environ un tiers de son chiffre d'affaires total avec des activités récurrentes.

La réticence à investir eu égard à la conjoncture économique explique toutefois que le climat des affaires reste difficile en Allemagne, au Royaume-Uni et dans le reste de l'Europe centrale. Les instituts de recherche économique les plus en vue ainsi que la VDMA (fédération allemande d'ingénierie mécanique) continuent de nourrir un certain scepticisme sur les perspectives en Allemagne. Heidelberg entend dès lors poursuivre systématiquement dans la voie des mesures déjà prises pour maintenir sa rentabilité et améliorer ses liquidités.

Rainer Hundsdörfer, CEO d'Heidelberg, a déclaré : " La solide progression du deuxième trimestre nous autorise à garder confiance en notre capacité à atteindre l'objectif de chiffre d'affaires fixé pour l'exercice. Le climat économique mondial difficile n'est toutefois pas sans conséquences pour nous et nos clients. Aussi allons-nous mettre en oeuvre de manière très systématique des mesures visant à améliorer notre bénéfice net et notre flux de trésorerie disponible au cours des prochains mois. "

Des stratégies de rentabilité et une rationalisation plus poussée des structures organisationnelles et managériales au sein de l'entreprise sont essentielles pour garantir des résultats durables. Un amaigrissement du Conseil d'administration en fait partie. L'administrateur Stephan Plenz, Chief Technology Officer et responsable du segment Digital Technology d'Heidelberg, quittera l'entreprise d'un commun accord à l'échéance de son contrat actuel en juin 2020.

La société développe trois approches principales face à la problématique du fonds de roulement et du flux de trésorerie disponible, lesquels demeurent insatisfaisants en dépit des améliorations du deuxième trimestre. Primo, une coupe d'environ 20 millions d'euros sera pratiquée dans les investissements prévus. Secundo, le capital immobilisé devrait être réduit d'environ 50 millions d'euros par l'optimisation des délais d'exécution et des niveaux des stocks, et l'amélioration concomitante de la gestion des créances. Tertio, des ajustements de portefeuille et d'autres optimisations structurelles devraient générer environ 30 millions d'euros de liquidités pour l'entreprise. Le potentiel de liquidité total s'élève ainsi à environ 100 millions d'euros, selon un communiqué d'Heidelberg.

Le chiffre d'affaires trimestriel (+9 % à 622 millions EUR), l'EBITDA (hors résultat de restructuration) (+28 % à 55 millions EUR) et le carnet de commandes (+1 % à 648 millions EUR) ressortent en hausse. Le principal stimulant pour les activités est venu de la poursuite de la digitalisation des processus de production auprès des imprimeries (pour laquelle Heidelberg propose sa technologie Push-to-Stop), qui génère une progression notamment aux États-Unis et en Chine. Les modèles économiques numériques tels que les abonnements apportent également une contribution positive, tout comme la part croissante du chiffre d'affaires récurrent provenant des activités contractuelles et du commerce électronique. Les activités d'abonnements, par exemple, représentent plus de 10 % du portefeuille de commandes. L'objectif à moyen terme d'Heidelberg est de réduire significativement l'exposition de l'entreprise aux fluctuations économiques en réalisant environ un tiers de son chiffre d'affaires total avec des activités récurrentes.La réticence à investir eu égard à la conjoncture économique explique toutefois que le climat des affaires reste difficile en Allemagne, au Royaume-Uni et dans le reste de l'Europe centrale. Les instituts de recherche économique les plus en vue ainsi que la VDMA (fédération allemande d'ingénierie mécanique) continuent de nourrir un certain scepticisme sur les perspectives en Allemagne. Heidelberg entend dès lors poursuivre systématiquement dans la voie des mesures déjà prises pour maintenir sa rentabilité et améliorer ses liquidités.Rainer Hundsdörfer, CEO d'Heidelberg, a déclaré : " La solide progression du deuxième trimestre nous autorise à garder confiance en notre capacité à atteindre l'objectif de chiffre d'affaires fixé pour l'exercice. Le climat économique mondial difficile n'est toutefois pas sans conséquences pour nous et nos clients. Aussi allons-nous mettre en oeuvre de manière très systématique des mesures visant à améliorer notre bénéfice net et notre flux de trésorerie disponible au cours des prochains mois. "Des stratégies de rentabilité et une rationalisation plus poussée des structures organisationnelles et managériales au sein de l'entreprise sont essentielles pour garantir des résultats durables. Un amaigrissement du Conseil d'administration en fait partie. L'administrateur Stephan Plenz, Chief Technology Officer et responsable du segment Digital Technology d'Heidelberg, quittera l'entreprise d'un commun accord à l'échéance de son contrat actuel en juin 2020.La société développe trois approches principales face à la problématique du fonds de roulement et du flux de trésorerie disponible, lesquels demeurent insatisfaisants en dépit des améliorations du deuxième trimestre. Primo, une coupe d'environ 20 millions d'euros sera pratiquée dans les investissements prévus. Secundo, le capital immobilisé devrait être réduit d'environ 50 millions d'euros par l'optimisation des délais d'exécution et des niveaux des stocks, et l'amélioration concomitante de la gestion des créances. Tertio, des ajustements de portefeuille et d'autres optimisations structurelles devraient générer environ 30 millions d'euros de liquidités pour l'entreprise. Le potentiel de liquidité total s'élève ainsi à environ 100 millions d'euros, selon un communiqué d'Heidelberg.