Heidelberg a vendu sa filiale à 100 % CSAT au début de cette année. CSAT est, entre autres, le constructeur de la rotative jet d'encre Linoprint.
Heidelberg avait acquis CSAT, d'Eggenstein, dans la région de Karlsruhe (Allemagne), au mois de juillet 2011. CSAT fabrique des imprimantes jet d'encre rotatives pour étiquettes, blisters et emballages films. Heidelberg avait déclaré à l'époque : " La reprise de CSAT est en phase avec notre stratégie d'impression numérique, axée notamment sur la production rentable de tirages courts et variables d'emballages et d'étiquettes. " Le produit phare est la Linoprint L, une imprimante à jet d'encre UV à 600 dpi, d'une capacité de 48 m/min. On a encore pu la voir l'an dernier sur le stand de Gallus au Labelexpo de Bruxelles.
CSAT a été cédée à l'Américain Markem-Imaje, producteur de systèmes de codage et de marquage, lui-même propriété du Groupe Dover.
L'intérêt d'Heidelberg pour le jet d'encre a trouvé sa concrétisation dans un accord stratégique avec Fujifilm, annoncé fin de l'an dernier. Heidelberg se voit ouvrir l'accès à la technologie inkjet de Fujifilm, et Fujifilm pourra en retour faire appel au savoir-faire du constructeur allemand de presses d'imprimerie en matière d'ingénierie et de fabrication mécanique.
À propos de l'annonce relative à Fujifilm, Gerold Linzbach, directeur général d'Heidelberg, a déclaré compter sur le jet d'encre pour jouer rapidement un rôle dans le segment à hauts volumes du marché. Le constructeur allemand entend y devenir un acteur important au niveau mondial. L'accent est mis sur l'utilisation des têtes d'impression Dimatix Samba de Fuji, déjà à l'oeuvre dans la JetPress 720 de Fujifilm.
Le deal avec Ricoh (les Ricoh C901 et C751, vendues sous le label Heidelberg Linoprint) n'est pas menacé. L'accord passé avec Fujifilm cible les imprimeries industrielles traitant de gros volumes de production, alors que les imprimantes Linoprint à toner sont destinées à l'impression de petits tirages, avec ou sans données variables.
Heidelberg avait acquis CSAT, d'Eggenstein, dans la région de Karlsruhe (Allemagne), au mois de juillet 2011. CSAT fabrique des imprimantes jet d'encre rotatives pour étiquettes, blisters et emballages films. Heidelberg avait déclaré à l'époque : " La reprise de CSAT est en phase avec notre stratégie d'impression numérique, axée notamment sur la production rentable de tirages courts et variables d'emballages et d'étiquettes. " Le produit phare est la Linoprint L, une imprimante à jet d'encre UV à 600 dpi, d'une capacité de 48 m/min. On a encore pu la voir l'an dernier sur le stand de Gallus au Labelexpo de Bruxelles. CSAT a été cédée à l'Américain Markem-Imaje, producteur de systèmes de codage et de marquage, lui-même propriété du Groupe Dover.L'intérêt d'Heidelberg pour le jet d'encre a trouvé sa concrétisation dans un accord stratégique avec Fujifilm, annoncé fin de l'an dernier. Heidelberg se voit ouvrir l'accès à la technologie inkjet de Fujifilm, et Fujifilm pourra en retour faire appel au savoir-faire du constructeur allemand de presses d'imprimerie en matière d'ingénierie et de fabrication mécanique. À propos de l'annonce relative à Fujifilm, Gerold Linzbach, directeur général d'Heidelberg, a déclaré compter sur le jet d'encre pour jouer rapidement un rôle dans le segment à hauts volumes du marché. Le constructeur allemand entend y devenir un acteur important au niveau mondial. L'accent est mis sur l'utilisation des têtes d'impression Dimatix Samba de Fuji, déjà à l'oeuvre dans la JetPress 720 de Fujifilm.Le deal avec Ricoh (les Ricoh C901 et C751, vendues sous le label Heidelberg Linoprint) n'est pas menacé. L'accord passé avec Fujifilm cible les imprimeries industrielles traitant de gros volumes de production, alors que les imprimantes Linoprint à toner sont destinées à l'impression de petits tirages, avec ou sans données variables.