PrintOS n'est pas un système d'exploitation comme on en connaît dans le monde informatique avec Windows ou Mac OS, par exemple. Il s'agit plutôt d'un écosystème ouvert pour la production imprimée, basée sur le cloud, avec des applis Web et mobiles. Ce qui signifie concrètement que des applis seront disponibles dans le cloud pour permettre à des entreprises, mais à aussi des clients finaux, de mettre en oeuvre certaines productions. Les PSP qui, par exemple, reçoivent ponctuellement une commande impliquant l'impression de données variables ne doivent plus acquérir un logiciel spécifique et onéreux à cet effet, mais elles auront la possibilité de faire traiter les fichiers et de les stocker à petit prix dans le cloud, pour ensuite les imprimer sur leurs propres systèmes de production. L'utilisateur d'une appli peut être aussi bien le PSP que son client. Si un prestataire imprimeur quitte l'écosystème d'HP, le client final pourra malgré tout continuer à exploiter les applications qui ont été ainsi rendues possibles en passant à un autre prestataire. Autrement dit, les clics restent chez HP.

Avec PrintOS, le PSP reçoit, outre un contrat de service, les outils nécessaires pour jouer à plein son rôle de prestataire de services marketing, lesquels étaient jusqu'ici essentiellement l'apanage des grandes entreprises de production imprimée. On annonce pour la fin mai le lancement de " Box ", qui permettra de générer des travaux d'impression à partir de sources non automatiques, comme des e-mails et dropbox. HP dit également vouloir ouvrir la plate-forme de développement à des créateurs d'applis externes. Avec PrintOS, HP entend stimuler la croissance de l'impression numérique, une évolution qui ne peut être que profitable tant pour le constructeur que pour les PSP. HP proposera le service en direct.

Le cloud devient vraiment un thème important car d'autres acteurs, comme Konica Minolta, Ricoh, Xerox ou Heidelberg, sont également occupés à faire leurs expérimentations avec des écosystèmes dématérialisés.

PrintOS n'est pas un système d'exploitation comme on en connaît dans le monde informatique avec Windows ou Mac OS, par exemple. Il s'agit plutôt d'un écosystème ouvert pour la production imprimée, basée sur le cloud, avec des applis Web et mobiles. Ce qui signifie concrètement que des applis seront disponibles dans le cloud pour permettre à des entreprises, mais à aussi des clients finaux, de mettre en oeuvre certaines productions. Les PSP qui, par exemple, reçoivent ponctuellement une commande impliquant l'impression de données variables ne doivent plus acquérir un logiciel spécifique et onéreux à cet effet, mais elles auront la possibilité de faire traiter les fichiers et de les stocker à petit prix dans le cloud, pour ensuite les imprimer sur leurs propres systèmes de production. L'utilisateur d'une appli peut être aussi bien le PSP que son client. Si un prestataire imprimeur quitte l'écosystème d'HP, le client final pourra malgré tout continuer à exploiter les applications qui ont été ainsi rendues possibles en passant à un autre prestataire. Autrement dit, les clics restent chez HP.Avec PrintOS, le PSP reçoit, outre un contrat de service, les outils nécessaires pour jouer à plein son rôle de prestataire de services marketing, lesquels étaient jusqu'ici essentiellement l'apanage des grandes entreprises de production imprimée. On annonce pour la fin mai le lancement de " Box ", qui permettra de générer des travaux d'impression à partir de sources non automatiques, comme des e-mails et dropbox. HP dit également vouloir ouvrir la plate-forme de développement à des créateurs d'applis externes. Avec PrintOS, HP entend stimuler la croissance de l'impression numérique, une évolution qui ne peut être que profitable tant pour le constructeur que pour les PSP. HP proposera le service en direct.Le cloud devient vraiment un thème important car d'autres acteurs, comme Konica Minolta, Ricoh, Xerox ou Heidelberg, sont également occupés à faire leurs expérimentations avec des écosystèmes dématérialisés.