Le Dr Gerold Linzbach, nouveau CEO d'Heidelberg depuis le 1er septembre, s'est dit ouvert à l'idée d'une collaboration, dans une déclaration au " Frankfurter Allgemeinen Zeitung ". Claus Bolza-Schünemann, président du conseil d'administration de KBA, a confié une semaine plus tard au " Börsen-Zeitung " que des discussions étaient en cours avec Heidelberg au sujet d'une éventuelle coopération.

La situation du marché force les entreprises à sortir des sentiers battus, mais la fusion des deux sociétés n'est pas à l'ordre du jour. Bolza-Schünemann : " Parler fusion serait prématuré ". Heidelberg n'a pas l'argent et KBA n'a apparemment aucune envie de racheter Heidelberg. On pense plutôt à un rapprochement au plan de la politique d'achat, dans le but de réduire les coûts.

Lors de l'événement-presse international de la fin de l'an dernier, Linzbach avait encore suggéré que les deux constructeurs pourraient partager leurs installations de production et mettre leurs connaissances en commun. Et il faisait remarquer que cette forme de collaboration existe déjà dans l'industrie automobile.

Ryobi et Mitsubishi travaillent eux aussi à une alliance. Celle-ci prendrait la forme d'une coopération poussée, par exemple, dans le développement et la fabrication en commun des nouvelles machines.

En tout état de cause, Linzbach aime l'idée de constituants communs (mêmes encrages, mêmes margeurs, sécheurs, etc.), mais on aurait encore du mal à penser que KBA soit d'accord. " Linzbach pense peut-être à une utilisation plus rationnelle de la fonderie d'Amstetten ", suppute notre collègue d'Eurographic Press, Gareth Ward.

Le Dr Gerold Linzbach, nouveau CEO d'Heidelberg depuis le 1er septembre, s'est dit ouvert à l'idée d'une collaboration, dans une déclaration au " Frankfurter Allgemeinen Zeitung ". Claus Bolza-Schünemann, président du conseil d'administration de KBA, a confié une semaine plus tard au " Börsen-Zeitung " que des discussions étaient en cours avec Heidelberg au sujet d'une éventuelle coopération.La situation du marché force les entreprises à sortir des sentiers battus, mais la fusion des deux sociétés n'est pas à l'ordre du jour. Bolza-Schünemann : " Parler fusion serait prématuré ". Heidelberg n'a pas l'argent et KBA n'a apparemment aucune envie de racheter Heidelberg. On pense plutôt à un rapprochement au plan de la politique d'achat, dans le but de réduire les coûts. Lors de l'événement-presse international de la fin de l'an dernier, Linzbach avait encore suggéré que les deux constructeurs pourraient partager leurs installations de production et mettre leurs connaissances en commun. Et il faisait remarquer que cette forme de collaboration existe déjà dans l'industrie automobile.Ryobi et Mitsubishi travaillent eux aussi à une alliance. Celle-ci prendrait la forme d'une coopération poussée, par exemple, dans le développement et la fabrication en commun des nouvelles machines.En tout état de cause, Linzbach aime l'idée de constituants communs (mêmes encrages, mêmes margeurs, sécheurs, etc.), mais on aurait encore du mal à penser que KBA soit d'accord. " Linzbach pense peut-être à une utilisation plus rationnelle de la fonderie d'Amstetten ", suppute notre collègue d'Eurographic Press, Gareth Ward.