Les nouvelles normes de l'Ecolabel européen sont entrées en vigueur le 11 janvier 2019 et concernent les papiers graphiques et les papiers d'hygiène et domestique (dits 'tissue'). Concernant le papier graphique, l'écolabel augmente le taux de fibres issues de forêts gérées durablement de 50 à 70%. Au niveau du processus de production, les taux d'émissions nocives dans l'air et dans l'eau et de la consommation d'électricité et de combustible sont revus à la baisse. Pour afficher l'écolabel européen, le papier doit aussi être exempt de certains produits chimiques. Pour la fabrication de papier graphique, l'argent, l'arsenic, le baryum, le cadmium, le cobalt, le mercure, le manganèse, le sélénium, l'antimoine, l'étain et le zinc sont désormais interdits dans les colorants et pigments.
L'écolabel européen des papiers durcit ses normes
Pour pouvoir prétendre au label, le papier doit désormais contenir au moins 70% de fibres provenant de forêts gérées durablement au lieu de 50%. Une série de produits chimiques sont aussi bannis. Les fabricants ont jusqu'au 31 décembre 2019 pour se conformer aux nouvelles règles.

Les nouvelles normes de l'Ecolabel européen sont entrées en vigueur le 11 janvier 2019 et concernent les papiers graphiques et les papiers d'hygiène et domestique (dits 'tissue'). Concernant le papier graphique, l'écolabel augmente le taux de fibres issues de forêts gérées durablement de 50 à 70%. Au niveau du processus de production, les taux d'émissions nocives dans l'air et dans l'eau et de la consommation d'électricité et de combustible sont revus à la baisse. Pour afficher l'écolabel européen, le papier doit aussi être exempt de certains produits chimiques. Pour la fabrication de papier graphique, l'argent, l'arsenic, le baryum, le cadmium, le cobalt, le mercure, le manganèse, le sélénium, l'antimoine, l'étain et le zinc sont désormais interdits dans les colorants et pigments.