Halewijn NV, l'éditeur anversois notamment de l'hebdomadaire Kerk&Leven et du site Web Kerknet.be, projette un licenciement collectif. La restructuration concerne 21 salariés, fait savoir l'entreprise.
L'imprimerie anversoise Halewijn existe depuis septante ans. C'est en 1953 que les dominicains ont commencé à imprimer en autoédition le journal paroissial hebdomadaire, devenu plus tard Kerk&Leven, à destination de la Flandre catholique. La semaine dernière, Halewijn NV, qui appartient aux évêques flamands, a fait connaître son intention de procéder à un licenciement collectif. 21 emplois pourraient passer à la trappe. Halewijn a l'intention de mettre fin à ses activités de composition et d'impression ainsi que de réduire le personnel, aussi bien à la rédaction qu'à l'imprimerie.
Marché concurrentiel
"Halewijn est notamment confrontée à une baisse forte et continue des abonnements à Kerk&Leven", lit-on dans le communiqué de presse de l'entreprise. "Par ailleurs, un parc de machines obsolète et un processus de production logistique complexe dans un marché concurrentiel exercent également une forte pression sur l'avenir des activités."
L'imprimeur et éditeur Halewijn avait investi en 2013 dans la technologie jet d'encre de Canon. Kerk & Leven paraissait alors à 300 000 exemplaires en 482 versions différentes. Il ne reste plus aujourd'hui que 118 000 abonnés.
Selon les derniers résultats annuels publiés, Halewijn a réalisé un chiffre d'affaires de 8,4 millions d'euros en 2022, en perte de 643 000 euros. L'entreprise emploie 51 personnes (en équivalents temps plein).
Chez Halewijn, on ne fait pas de commentaire : "S'agissant d'une déclaration d'intention, nous sommes tenus à un cadre juridique, si bien que nous ne sommes pas en mesure de fournir des détails à ce stade", a fait savoir Koen Vlaeminck, le rédacteur en chef de Kerk&Leven et Kerknet.
L'imprimerie anversoise Halewijn existe depuis septante ans. C'est en 1953 que les dominicains ont commencé à imprimer en autoédition le journal paroissial hebdomadaire, devenu plus tard Kerk&Leven, à destination de la Flandre catholique. La semaine dernière, Halewijn NV, qui appartient aux évêques flamands, a fait connaître son intention de procéder à un licenciement collectif. 21 emplois pourraient passer à la trappe. Halewijn a l'intention de mettre fin à ses activités de composition et d'impression ainsi que de réduire le personnel, aussi bien à la rédaction qu'à l'imprimerie. Marché concurrentiel "Halewijn est notamment confrontée à une baisse forte et continue des abonnements à Kerk&Leven", lit-on dans le communiqué de presse de l'entreprise. "Par ailleurs, un parc de machines obsolète et un processus de production logistique complexe dans un marché concurrentiel exercent également une forte pression sur l'avenir des activités." L'imprimeur et éditeur Halewijn avait investi en 2013 dans la technologie jet d'encre de Canon. Kerk & Leven paraissait alors à 300 000 exemplaires en 482 versions différentes. Il ne reste plus aujourd'hui que 118 000 abonnés. Selon les derniers résultats annuels publiés, Halewijn a réalisé un chiffre d'affaires de 8,4 millions d'euros en 2022, en perte de 643 000 euros. L'entreprise emploie 51 personnes (en équivalents temps plein). Chez Halewijn, on ne fait pas de commentaire : "S'agissant d'une déclaration d'intention, nous sommes tenus à un cadre juridique, si bien que nous ne sommes pas en mesure de fournir des détails à ce stade", a fait savoir Koen Vlaeminck, le rédacteur en chef de Kerk&Leven et Kerknet.