Frederik Agdrup et Nicholas Bjorndal, auteurs du projet "Print a House" (quoique rien ne soit imprimé...) sont partis d'un modèle 3D, converti sur ordinateur en patrons de découpe, eux-mêmes expédiés vers une machine de découpe numérique, semblable à celles utilisées dans le domaine de l'enseigne. Une fois les panneaux découpés, il ne leur restait plus qu'à assembler la construction sur des pieux de fondation. C'est rapide, économique et durable : en dehors des fenêtres et d'un minimum de structures métalliques, le processus n'utilise que du bois certifié, ne nécessite que peu de main d'oeuvre et aucun équipement lourd. Il ne génère que très peu de chutes. Si nécessaire, la construction peut être facilement démontée et déplacée.

Le concept pourrait s'appliquer aussi bien aux situations d'urgence humanitaire (après un tremblement de terre, par exemple) qu'à la construction personnalisée à grande échelle.

Frederik Agdrup et Nicholas Bjorndal, auteurs du projet "Print a House" (quoique rien ne soit imprimé...) sont partis d'un modèle 3D, converti sur ordinateur en patrons de découpe, eux-mêmes expédiés vers une machine de découpe numérique, semblable à celles utilisées dans le domaine de l'enseigne. Une fois les panneaux découpés, il ne leur restait plus qu'à assembler la construction sur des pieux de fondation. C'est rapide, économique et durable : en dehors des fenêtres et d'un minimum de structures métalliques, le processus n'utilise que du bois certifié, ne nécessite que peu de main d'oeuvre et aucun équipement lourd. Il ne génère que très peu de chutes. Si nécessaire, la construction peut être facilement démontée et déplacée. Le concept pourrait s'appliquer aussi bien aux situations d'urgence humanitaire (après un tremblement de terre, par exemple) qu'à la construction personnalisée à grande échelle.