Selon le communiqué de Manroland, le CEO Rafael Penuela-Torres (en photo) a été salué par un tonnerre d'applaudissements lorsqu'il a annoncé la bonne nouvelle à la mi-décembre devant l'assemblée trimestrielle des 900 travailleurs d'Offenbach. Le carnet de commandes s'est entre-temps regarni ; l'usine va pouvoir fonctionner à plein au moins jusqu'au mois de mars 2020. Des heures supplémentaires sont de nouveau prestées depuis novembre et du personnel supplémentaire sera engagé en janvier.

Dans le rapport annuel de 2018, Langley Holding, maison mère de Manroland Sheetfed depuis 2012, portait un regard critique sur 2019, notamment eu égard au ralentissement persistant noté en Chine - principal marché de Manroland. En dépit de la baisse du chiffre d'affaires (2017 : 286,3 millions d'euros, 2018 : 259,8 millions d'euros) Langley a considéré que le constructeur de presses avait livré une " contribution positive " au résultat pour 2019 également. À la mi-2019, son patron Anthony J. Langley avait fait savoir que Manroland Sheetfed venait de boucler un premier semestre relativement médiocre lié à un volume de commandes décevant, du fait de " la pression sur les prix agressive exercée par les concurrents ". " J'ai laissé à l'entreprise l'espace nécessaire pour y répondre. Et comme Manroland est beaucoup plus 'lean' que la concurrence, et ne souffre pas d'une structure de coûts démesurée ni de charges de financement exorbitantes, je suis persuadé que ce volume de commandes pourra être largement récupéré au cours du second semestre de l'année. "

Selon le communiqué de Manroland, le CEO Rafael Penuela-Torres (en photo) a été salué par un tonnerre d'applaudissements lorsqu'il a annoncé la bonne nouvelle à la mi-décembre devant l'assemblée trimestrielle des 900 travailleurs d'Offenbach. Le carnet de commandes s'est entre-temps regarni ; l'usine va pouvoir fonctionner à plein au moins jusqu'au mois de mars 2020. Des heures supplémentaires sont de nouveau prestées depuis novembre et du personnel supplémentaire sera engagé en janvier.Dans le rapport annuel de 2018, Langley Holding, maison mère de Manroland Sheetfed depuis 2012, portait un regard critique sur 2019, notamment eu égard au ralentissement persistant noté en Chine - principal marché de Manroland. En dépit de la baisse du chiffre d'affaires (2017 : 286,3 millions d'euros, 2018 : 259,8 millions d'euros) Langley a considéré que le constructeur de presses avait livré une " contribution positive " au résultat pour 2019 également. À la mi-2019, son patron Anthony J. Langley avait fait savoir que Manroland Sheetfed venait de boucler un premier semestre relativement médiocre lié à un volume de commandes décevant, du fait de " la pression sur les prix agressive exercée par les concurrents ". " J'ai laissé à l'entreprise l'espace nécessaire pour y répondre. Et comme Manroland est beaucoup plus 'lean' que la concurrence, et ne souffre pas d'une structure de coûts démesurée ni de charges de financement exorbitantes, je suis persuadé que ce volume de commandes pourra être largement récupéré au cours du second semestre de l'année. "