La discussion porte sur " l'indemnité de transition " que Joh. Enschedé serait disposé à mettre sur la table pour les 150 travailleurs sur 210 qui perdent leur emploi des suites de la réorganisation radicale liée à l'arrêt de l'activité d'impression de billets de banque. Un montant de 3 millions d'euros doit être dégagé à titre d'indemnités, mais Joh. Enschedé souhaitait initialement n'en sortir qu'un million, après quoi le conseil d'entreprise aurait menacé de demander la faillite. ING doit sa position clé à une restructuration financière survenue en 2014, à la faveur de laquelle la banque avait fait un trait sur des crédits pour une valeur de 19 millions d'euros et augmenté les fonds de roulement de l'entreprise. Les syndicats du secteur graphique ont entre-temps repris la concertation.
Le sort de Joh. Enschedé dans les mains d'ING
Le quotidien néerlandais " Het Financieel Dagblad " fait savoir que le sort de l'imprimeur fiduciaire Joh. Enschedé repose dans les mains de son banquier ING.

La discussion porte sur " l'indemnité de transition " que Joh. Enschedé serait disposé à mettre sur la table pour les 150 travailleurs sur 210 qui perdent leur emploi des suites de la réorganisation radicale liée à l'arrêt de l'activité d'impression de billets de banque. Un montant de 3 millions d'euros doit être dégagé à titre d'indemnités, mais Joh. Enschedé souhaitait initialement n'en sortir qu'un million, après quoi le conseil d'entreprise aurait menacé de demander la faillite. ING doit sa position clé à une restructuration financière survenue en 2014, à la faveur de laquelle la banque avait fait un trait sur des crédits pour une valeur de 19 millions d'euros et augmenté les fonds de roulement de l'entreprise. Les syndicats du secteur graphique ont entre-temps repris la concertation.