Au bout d'une bonne année et demie, le groupe Mengis arrête l'impression numérique du journal régional " Walliser Bote ".

Depuis la mi-juin 2015, le " Walliser Bote " était tiré six fois par semaine à 22 000 ex. sur une combinaison d'une presse HP T 400 et d'une FoldLine Manroland pour le pliage.

Même si cette technique ne permettait d'imprimer qu'au maximum 5 700 ex./heure de la publication de 24 pages et que la production était plus lente et plus chère que sur la rotative offset employée auparavant, décision avait été prise malgré tout de tenter l'expérience. Le journal assurait un certain taux d'occupation de la machine et, grâce à la souplesse de la FoldLine, il aurait pu servir de tremplin vers la production de nombreux autres petits imprimés, éventuellement personnalisés.

Encore juste avant l'investissement, le Conseil d'administration avait envisagé diverses options, comme sous-traiter l'impression du journal. Mais la nécessité de boucler tôt et des prix de production trop élevés constituaient autant d'obstacles à une externalisation.

Un communiqué de l'entreprise dit en substance : " Le Conseil d'administration avait alors décidé d'utiliser une machine d'impression numérique. À l'époque, on pouvait le voir comme un investissement durable pour l'avenir. Il n'a toutefois pas été possible de rencontrer les attentes dans un délai raisonnable. En outre, pendant les tirages du Walliser Bote, le système d'impression numérique n'est pas disponible à des moments intéressants pour les clients. La production du journal prend environ 4 à 5 heures. Cet aspect va à présent être optimisé. "

L'impression du Walliser Bote va être sous-traitée à partir de janvier 2017. Compte tenu de la surcapacité qui règne dans presque toutes les imprimeries de journaux en Suisse, le moment semble plus propice et les conditions financières sont beaucoup meilleures ", peut-on lire en conclusion. Les négociations sont en cours, dit Mengis.

Au bout d'une bonne année et demie, le groupe Mengis arrête l'impression numérique du journal régional " Walliser Bote ".Depuis la mi-juin 2015, le " Walliser Bote " était tiré six fois par semaine à 22 000 ex. sur une combinaison d'une presse HP T 400 et d'une FoldLine Manroland pour le pliage.Même si cette technique ne permettait d'imprimer qu'au maximum 5 700 ex./heure de la publication de 24 pages et que la production était plus lente et plus chère que sur la rotative offset employée auparavant, décision avait été prise malgré tout de tenter l'expérience. Le journal assurait un certain taux d'occupation de la machine et, grâce à la souplesse de la FoldLine, il aurait pu servir de tremplin vers la production de nombreux autres petits imprimés, éventuellement personnalisés. Encore juste avant l'investissement, le Conseil d'administration avait envisagé diverses options, comme sous-traiter l'impression du journal. Mais la nécessité de boucler tôt et des prix de production trop élevés constituaient autant d'obstacles à une externalisation.Un communiqué de l'entreprise dit en substance : " Le Conseil d'administration avait alors décidé d'utiliser une machine d'impression numérique. À l'époque, on pouvait le voir comme un investissement durable pour l'avenir. Il n'a toutefois pas été possible de rencontrer les attentes dans un délai raisonnable. En outre, pendant les tirages du Walliser Bote, le système d'impression numérique n'est pas disponible à des moments intéressants pour les clients. La production du journal prend environ 4 à 5 heures. Cet aspect va à présent être optimisé. " L'impression du Walliser Bote va être sous-traitée à partir de janvier 2017. Compte tenu de la surcapacité qui règne dans presque toutes les imprimeries de journaux en Suisse, le moment semble plus propice et les conditions financières sont beaucoup meilleures ", peut-on lire en conclusion. Les négociations sont en cours, dit Mengis.