Mercator Press, qui occupe 110 personnes, poursuivra une activité indépendante sur le marché, sous la direction de son actuel CEO Bruno Deracourt.

La Koninklijke Drukkerij Em. de Jong, installée à Baarle-Nassau, près de la frontière belge, est une entreprise familiale fondée en 1906 et aujourd'hui dirigée par Joep de Jong, petit-fils du fondateur. C'est la plus grosse imprimerie néerlandaise de publicités de détail (toutes-boîtes, dépliants, etc.). Elle possède un parc de machines moderne composé de dix rotatives de 8 à 80 pages, cinq presses à feuilles et quatre presses numériques. Sa rotative heatset de 80 pages, mise en service l'année dernière, est la plus grosse et la plus rapide des rotatives heatset dans tout le Benelux. De Jong compte 350 collaborateurs. L'entreprise s'est progressivement agrandie par les reprises de Janssen/Pers à Gennep, Kampert Drukwerk, Nauta et Haagen à Oss, ainsi que de Webstar Printing, en faillite, à Beuningen.

Au cours des cinq derniers exercices, de 2005 à 2009, Mercator Press n'a connu qu'une seule année bénéficiaire, en 2007. L'année dernière, l'entreprise a encore subi une perte de 1.126.312 euros. Le rapport entre ses frais de personnel et sa valeur ajoutée atteignait 113,43 % en 2009 et n'est descendu sous les 100 % qu'en 2005. L'entreprise n'a pas encore déposé de comptes pour 2010.

Mercator Press comptait encore naguère trois sites de production. Sa filiale Graphing, à Charleroi, où travaillaient 80 personnes, a fermé ses portes en juin 2009. En avril dernier, c'est l'imprimerie française Georges Frère, à Neuville-en-Ferrain (Tourcoing), qui a fait faillite. Elle occupait 37 personnes.

Mercator Press a très peu investi ces cinq dernières années, tandis que son repreneur, de Jong, a mené une politique d'investissement active. Un parc de machines moderne et automatisé s'avère nécessaire pour faire face aux conditions très compétitives du marché. Le rachat de Mercator Press permet à de Jong de s'emparer d'un fonds de commerce qui complète bien ses propres activités. En collaboration avec son repreneur, Mercator Press doit renforcer sa position sur le marché, en Belgique et en France.

Mercator Press, qui occupe 110 personnes, poursuivra une activité indépendante sur le marché, sous la direction de son actuel CEO Bruno Deracourt. La Koninklijke Drukkerij Em. de Jong, installée à Baarle-Nassau, près de la frontière belge, est une entreprise familiale fondée en 1906 et aujourd'hui dirigée par Joep de Jong, petit-fils du fondateur. C'est la plus grosse imprimerie néerlandaise de publicités de détail (toutes-boîtes, dépliants, etc.). Elle possède un parc de machines moderne composé de dix rotatives de 8 à 80 pages, cinq presses à feuilles et quatre presses numériques. Sa rotative heatset de 80 pages, mise en service l'année dernière, est la plus grosse et la plus rapide des rotatives heatset dans tout le Benelux. De Jong compte 350 collaborateurs. L'entreprise s'est progressivement agrandie par les reprises de Janssen/Pers à Gennep, Kampert Drukwerk, Nauta et Haagen à Oss, ainsi que de Webstar Printing, en faillite, à Beuningen.Au cours des cinq derniers exercices, de 2005 à 2009, Mercator Press n'a connu qu'une seule année bénéficiaire, en 2007. L'année dernière, l'entreprise a encore subi une perte de 1.126.312 euros. Le rapport entre ses frais de personnel et sa valeur ajoutée atteignait 113,43 % en 2009 et n'est descendu sous les 100 % qu'en 2005. L'entreprise n'a pas encore déposé de comptes pour 2010. Mercator Press comptait encore naguère trois sites de production. Sa filiale Graphing, à Charleroi, où travaillaient 80 personnes, a fermé ses portes en juin 2009. En avril dernier, c'est l'imprimerie française Georges Frère, à Neuville-en-Ferrain (Tourcoing), qui a fait faillite. Elle occupait 37 personnes. Mercator Press a très peu investi ces cinq dernières années, tandis que son repreneur, de Jong, a mené une politique d'investissement active. Un parc de machines moderne et automatisé s'avère nécessaire pour faire face aux conditions très compétitives du marché. Le rachat de Mercator Press permet à de Jong de s'emparer d'un fonds de commerce qui complète bien ses propres activités. En collaboration avec son repreneur, Mercator Press doit renforcer sa position sur le marché, en Belgique et en France.