Trois jours après la propagation du virus WannaCry, près de 200.000 machines dans près de 150 pays ont été infectées, selon Europol. Ce qui a créé le chaos dans de nombreuses institutions et le blocage des activités.

En Belgique, la société Paper Shop de Marcinelle a été touchée le vendredi 12 mai aux alentours de 14 heures. Un étrange fichier texte s'est glissé dans les dossiers informatiques de l'entreprise carolo. Les données se sont ensuite cryptées de sorte à ne plus permettre l'ouverture des fichiers. Seule solution pour résoudre ce problème : payer une rançon de 300$ dans les trois jours. Au-delà, la somme augmente. Et une fois le délai de paiement dépassé, le ransomware menace de supprimer toutes les données. Le virus s'accompagnait d'un décompte qui était affiché sur l'écran de l'ordinateur. L'entreprise a eu le bon réflexe de déconnecter ses serveurs d'Internet directement après la cyberattaque. Paper Shop, qui a reçu le conseil par la police de ne pas payer la rançon, est parvenue à récupérer une partie de ses données la semaine dernière. L'entreprise a ainsi pu reprendre une partie de ses activités dès lundi dernier, mais est restée sans Internet toute la semaine. Ce qui a paralysé l'activité e-commerce.

Paper Shop vend des emballages alimentaires et des produits de papeterie aussi bien en magasin qu'en ligne. Pour travailler, l'entreprise dépend donc fortement de l'informatique. La perte définitive de toutes les données informatiques aurait entraîné l'encodage manuel de celles-ci, soit près de 200.000 pages. La protection anti-virus n'a pas permis de protéger les ordinateurs du ransomware. Actuellement, le site d'e-commerce de PaperShop est toujours inaccessible.

Trois jours après la propagation du virus WannaCry, près de 200.000 machines dans près de 150 pays ont été infectées, selon Europol. Ce qui a créé le chaos dans de nombreuses institutions et le blocage des activités.En Belgique, la société Paper Shop de Marcinelle a été touchée le vendredi 12 mai aux alentours de 14 heures. Un étrange fichier texte s'est glissé dans les dossiers informatiques de l'entreprise carolo. Les données se sont ensuite cryptées de sorte à ne plus permettre l'ouverture des fichiers. Seule solution pour résoudre ce problème : payer une rançon de 300$ dans les trois jours. Au-delà, la somme augmente. Et une fois le délai de paiement dépassé, le ransomware menace de supprimer toutes les données. Le virus s'accompagnait d'un décompte qui était affiché sur l'écran de l'ordinateur. L'entreprise a eu le bon réflexe de déconnecter ses serveurs d'Internet directement après la cyberattaque. Paper Shop, qui a reçu le conseil par la police de ne pas payer la rançon, est parvenue à récupérer une partie de ses données la semaine dernière. L'entreprise a ainsi pu reprendre une partie de ses activités dès lundi dernier, mais est restée sans Internet toute la semaine. Ce qui a paralysé l'activité e-commerce.Paper Shop vend des emballages alimentaires et des produits de papeterie aussi bien en magasin qu'en ligne. Pour travailler, l'entreprise dépend donc fortement de l'informatique. La perte définitive de toutes les données informatiques aurait entraîné l'encodage manuel de celles-ci, soit près de 200.000 pages. La protection anti-virus n'a pas permis de protéger les ordinateurs du ransomware. Actuellement, le site d'e-commerce de PaperShop est toujours inaccessible.