Implantée à Ypres, Cuvelier Graphics est une imprimerie familiale comptant quatre collaborateurs, spécialisée dans l'impression offset et les travaux numériques destinés au marché régional. Chaque année, quelque 2000 devis sont établis, la moitié parvenant au stade de la facturation. Avec une petite équipe composée de deux employés administratifs et de deux collaborateurs à la production, un tel volume exige une organisation solide.

Du côté de l'administration, une aide supplémentaire était donc plus que bienvenue. Les gérants, Arne et Fridl Cuvelier, ont vite conclu qu'ils avaient besoin d'un logiciel professionnel "en phase avec son temps". Arne Cuvelier s'est mis en quête d'une solution de remplacement à Print+. Et l'a trouvée. Au début, ce programme suffisait à l'imprimerie familiale, mais après quelques années, il ne répondait plus à ses besoins. Nous voilà un an plus tard...

  • Comment s'est déroulée la migration de Print+ à MultiPress ?
  • Quels ont été les obstacles rencontrés ?
  • Combien de temps a-t-il fallu pour s'habituer à MultiPress ?
  • Que pensent les utilisateurs de MultiPress ?
  • Quelles sont les extensions prévues à l'avenir ?

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Implantée à Ypres, Cuvelier Graphics est une imprimerie familiale comptant quatre collaborateurs, spécialisée dans l'impression offset et les travaux numériques destinés au marché régional. Chaque année, quelque 2000 devis sont établis, la moitié parvenant au stade de la facturation. Avec une petite équipe composée de deux employés administratifs et de deux collaborateurs à la production, un tel volume exige une organisation solide. Du côté de l'administration, une aide supplémentaire était donc plus que bienvenue. Les gérants, Arne et Fridl Cuvelier, ont vite conclu qu'ils avaient besoin d'un logiciel professionnel "en phase avec son temps". Arne Cuvelier s'est mis en quête d'une solution de remplacement à Print+. Et l'a trouvée. Au début, ce programme suffisait à l'imprimerie familiale, mais après quelques années, il ne répondait plus à ses besoins. Nous voilà un an plus tard...Vous avez lu les premiers 15 % de l'article, cliquez ici pour la suite.