Guido Van der Schueren, d'Hybrid Software, détient depuis fin 2014 une participation dans Global Graphics, éditeur de RIP logiciels coté sur Euronext. Global Graphics avait d'ailleurs annoncé une alliance stratégique avec Hybrid Software en février dernier.

Aujourd'hui, Global Graphics rachète donc Meteor à TTP, qui a son siège dans la région de Cambridge (Royaume-Uni). La majeure partie de l'équipe de R&D de Global Graphics est également basée dans l'emblématique cité universitaire anglaise. Meteor, développeur d'électronique de contrôle-commande pour têtes d'impression, devient une filiale de Global Graphics SE et prend le nom de Meteor Inkjet Ltd. L'acquisition est importante aux yeux de Global Graphics car elle permet de proposer aux fabricants de têtes à jet d'encre un éventail élargi de solutions associant ses logiciels aux pilotes de Meteor pour têtes d'impression industrielles. Le segment de l'impression numérique à jet d'encre est en outre promis à un bel avenir.

Pour l'exercice fiscal clos au 31 mars 2016, Meteor avait réalisé un chiffre d'affaires de 2,5 millions de livres sterling et une perte avant impôts de 0,2 million. Sur les huit premiers mois du nouvel exercice arrêtés au 25 novembre 2016, le chiffre d'affaires est de 2,5 millions de livres pour un bénéfice avant impôts de 0,3 million.

Guido Van der Schueren, d'Hybrid Software, détient depuis fin 2014 une participation dans Global Graphics, éditeur de RIP logiciels coté sur Euronext. Global Graphics avait d'ailleurs annoncé une alliance stratégique avec Hybrid Software en février dernier.Aujourd'hui, Global Graphics rachète donc Meteor à TTP, qui a son siège dans la région de Cambridge (Royaume-Uni). La majeure partie de l'équipe de R&D de Global Graphics est également basée dans l'emblématique cité universitaire anglaise. Meteor, développeur d'électronique de contrôle-commande pour têtes d'impression, devient une filiale de Global Graphics SE et prend le nom de Meteor Inkjet Ltd. L'acquisition est importante aux yeux de Global Graphics car elle permet de proposer aux fabricants de têtes à jet d'encre un éventail élargi de solutions associant ses logiciels aux pilotes de Meteor pour têtes d'impression industrielles. Le segment de l'impression numérique à jet d'encre est en outre promis à un bel avenir.Pour l'exercice fiscal clos au 31 mars 2016, Meteor avait réalisé un chiffre d'affaires de 2,5 millions de livres sterling et une perte avant impôts de 0,2 million. Sur les huit premiers mois du nouvel exercice arrêtés au 25 novembre 2016, le chiffre d'affaires est de 2,5 millions de livres pour un bénéfice avant impôts de 0,3 million.