Heidelberg travaille sur une transformation de l'entreprise. Concrètement, cela concerne une 'simplification' du portefeuille de finition et un 'ajustement' du département presse offset feuille aux nouvelles conditions du marché.

Par ailleurs, une division a été mise en place pour la fabrication et la vente de consommables. La première étape de cette stratégie a été le rachat de l'entreprise belge BluePrint Products.

Dans le domaine numérique, Heidelberg entend aussi aller de l'avant grâce à des partenariats avec Gallus, Fuji et Ricoh. A cet effet, une entreprise a aussi été rachetée : le fournisseur de logiciel Neo7even.

Déception en Chine avec la chute des ventes de presses en Chine, laissant après neuf mois 1,552 milliard d'euros contre 1,685 milliards à la même période de l'année précédente. Malgré cela, l'EBITDA (hors éléments exceptionnels) a augmenté de 67 millions l'année précédente à maintenant 80 millions. L'Ebit est passé de 10 à 27 millions.

Le coût de toutes ces restructurations et adaptations s'élève à près de 72 millions d'euros, dont le résultat après neuf mois est toujours à -49 millions, contre -41 millions l'année précédente. Le résultat net avant impôts est passé de -32 à -92 millions. Après impôts, il est passé respectivement de -40 à -95 millions.

Sources: Heidelberg, Graficus

Heidelberg travaille sur une transformation de l'entreprise. Concrètement, cela concerne une 'simplification' du portefeuille de finition et un 'ajustement' du département presse offset feuille aux nouvelles conditions du marché. Par ailleurs, une division a été mise en place pour la fabrication et la vente de consommables. La première étape de cette stratégie a été le rachat de l'entreprise belge BluePrint Products. Dans le domaine numérique, Heidelberg entend aussi aller de l'avant grâce à des partenariats avec Gallus, Fuji et Ricoh. A cet effet, une entreprise a aussi été rachetée : le fournisseur de logiciel Neo7even.Déception en Chine avec la chute des ventes de presses en Chine, laissant après neuf mois 1,552 milliard d'euros contre 1,685 milliards à la même période de l'année précédente. Malgré cela, l'EBITDA (hors éléments exceptionnels) a augmenté de 67 millions l'année précédente à maintenant 80 millions. L'Ebit est passé de 10 à 27 millions. Le coût de toutes ces restructurations et adaptations s'élève à près de 72 millions d'euros, dont le résultat après neuf mois est toujours à -49 millions, contre -41 millions l'année précédente. Le résultat net avant impôts est passé de -32 à -92 millions. Après impôts, il est passé respectivement de -40 à -95 millions.Sources: Heidelberg, Graficus