Le départ d'Hermann, engagé en 2016 pour donner forme à l'avenir numérique de l'entreprise, n'est pas le premier. Avant lui, le directeur financier Dirk Kaliebe était parti en septembre dernier, après une carrière de plus de 20 ans chez Heidelberg. Et peu après cela, on avait appris que le contrat du Chief Technology Officer Stephan Plenz (30 ans d'expérience dans l'entreprise), ne serait pas prolongé - il a quitté la société en décembre.

L'entreprise possède à présent une direction bicéphale : le CEO Rainer Hundsdörfer, recruté en 2016, et le CFO Marcus Wassenberg, successeur de Kaliebe. Ils seront épaulés par un comité de direction encore à désigner.

Le Handelsblatt voit dans le départ d'Hermann un dégât collatéral d'une lutte pour le pouvoir au sommet, alimentée par une absence de vision et de stratégie et encore exacerbée par des résultats financiers médiocres. L'article fait par ailleurs remarquer que le modèle d'abonnement concocté par Hermann - plutôt que d'acheter la presse Heidelberg, les imprimeries paient une mensualité basée sur la productivité - a actuellement le vent en poupe. Toujours selon le journal, l'entreprise serait activement à la recherche de financements auprès des banques, mais il se pourrait aussi que le partenaire chinois Masterwork soit intéressé à augmenter sa participation (8,5 % actuellement) dans Heidelberg.

Un porte-parole a toutefois déclaré dans une réaction au magazine professionnel Printweek que l'article du journal était truffé d'inexactitude et de contre-vérités. " Nous avons un plan clair pour piloter Heidelberg dans cette phase difficile d'incertitude économique. " Le modèle d'abonnement est également maintenu : " Son développement sera poursuivi dans le cadre de notre transformation numérique. Il a bien démarré et peut compter sur le soutien de solides partenaires financiers. "

Le départ d'Hermann, engagé en 2016 pour donner forme à l'avenir numérique de l'entreprise, n'est pas le premier. Avant lui, le directeur financier Dirk Kaliebe était parti en septembre dernier, après une carrière de plus de 20 ans chez Heidelberg. Et peu après cela, on avait appris que le contrat du Chief Technology Officer Stephan Plenz (30 ans d'expérience dans l'entreprise), ne serait pas prolongé - il a quitté la société en décembre.L'entreprise possède à présent une direction bicéphale : le CEO Rainer Hundsdörfer, recruté en 2016, et le CFO Marcus Wassenberg, successeur de Kaliebe. Ils seront épaulés par un comité de direction encore à désigner.Le Handelsblatt voit dans le départ d'Hermann un dégât collatéral d'une lutte pour le pouvoir au sommet, alimentée par une absence de vision et de stratégie et encore exacerbée par des résultats financiers médiocres. L'article fait par ailleurs remarquer que le modèle d'abonnement concocté par Hermann - plutôt que d'acheter la presse Heidelberg, les imprimeries paient une mensualité basée sur la productivité - a actuellement le vent en poupe. Toujours selon le journal, l'entreprise serait activement à la recherche de financements auprès des banques, mais il se pourrait aussi que le partenaire chinois Masterwork soit intéressé à augmenter sa participation (8,5 % actuellement) dans Heidelberg.Un porte-parole a toutefois déclaré dans une réaction au magazine professionnel Printweek que l'article du journal était truffé d'inexactitude et de contre-vérités. " Nous avons un plan clair pour piloter Heidelberg dans cette phase difficile d'incertitude économique. " Le modèle d'abonnement est également maintenu : " Son développement sera poursuivi dans le cadre de notre transformation numérique. Il a bien démarré et peut compter sur le soutien de solides partenaires financiers. "