La dernière en date est celle d'un possible rachat par son concurrent KBA. Le constructeur de Radebeul s'est toutefois montré contradictoire : "Quand on nous demande pourquoi nous ne rachetons pas certaines activités de notre concurrent, je réponds que nous avons déjà bien assez nous-mêmes", a ainsi déclaré son directeur financier, Axel Kaufmann. Il est vrai que KBA a déjà dû réduire ses propres capacités de production et reste confronté à d'importants coûts de restructuration. Néanmoins, le PDG de KBA Claus Bolza-Schünemann a reconnu avoir "fait part de (son) intérêt" à l'administrateur provisoire de manroland, tout en précisant qu'aucune négociation n'avait été entamée. M. Bolza-Schünemann s'est surtout inquiété d'éventuelles aides d'État dont pourrait bénéficier manroland et qui, estime-t-il, menaceraient l'emploi dans sa propre entreprise.

Werner Schneider, l'administrateur provisoire, indique être en discussion avec plusieurs investisseurs potentiels, allemands ou étrangers. "Mais nous ne sommes pas encore au stade où nous pouvons annoncer des noms ou des résultats", a-t-il précisé. M. Schneider n'attend pas de solution avant Noël, mais il a également affirmé que l'entreprise poursuivrait son existence au-delà du 1er février.

La dernière en date est celle d'un possible rachat par son concurrent KBA. Le constructeur de Radebeul s'est toutefois montré contradictoire : "Quand on nous demande pourquoi nous ne rachetons pas certaines activités de notre concurrent, je réponds que nous avons déjà bien assez nous-mêmes", a ainsi déclaré son directeur financier, Axel Kaufmann. Il est vrai que KBA a déjà dû réduire ses propres capacités de production et reste confronté à d'importants coûts de restructuration. Néanmoins, le PDG de KBA Claus Bolza-Schünemann a reconnu avoir "fait part de (son) intérêt" à l'administrateur provisoire de manroland, tout en précisant qu'aucune négociation n'avait été entamée. M. Bolza-Schünemann s'est surtout inquiété d'éventuelles aides d'État dont pourrait bénéficier manroland et qui, estime-t-il, menaceraient l'emploi dans sa propre entreprise.Werner Schneider, l'administrateur provisoire, indique être en discussion avec plusieurs investisseurs potentiels, allemands ou étrangers. "Mais nous ne sommes pas encore au stade où nous pouvons annoncer des noms ou des résultats", a-t-il précisé. M. Schneider n'attend pas de solution avant Noël, mais il a également affirmé que l'entreprise poursuivrait son existence au-delà du 1er février.