Le Telegraaf doit composer non seulement avec un tirage qui a baissé de 9 % en un an de temps, à environ 400 000 exemplaires, mais aussi avec une chute de 21,8 % de ses recettes publicitaires. Lundi dernier, il a été suggéré dans la presse financière néerlandaise que TMG pourrait arrêter l'édition numérique du dimanche du Telegraaf ou supprimer des éditions en semaine, mais ces mesures ne sont pas encore à l'ordre du jour. Mardi, TMG s'est expliqué sur ses plans face à ses investisseurs. Par exemple, le démantèlement du portefeuille immobilier, à travers une cession-bail du siège amstellodamois, pourrait lui permettre de dégager davantage de moyens. La réduction de la capacité d'impression propre, de dix à cinq presses (jusqu'après que celles-ci eurent subi une rénovation approfondie jusqu'en 2015) a commencé entre-temps à porter ses fruits, de même que la sous-traitance de la production des imprimés à des parties extérieures, dont aussi Concentra Grafic. Annoncée pour plus tard dans le mois, la mise aux enchères en ligne de l'inventaire propre de l'imprimerie va peut-être aussi rapporter un peu d'argent.

Alors que TMG s'efforce de mettre de l'ordre dans ses finances, le groupe met également en oeuvre de grands changements du point de vue organisationnel en vue de pouvoir réaliser sa stratégie " 24/7 " : " Notre mission est de fournir à nos consommateurs une haute qualité de contenu personnalisé et pertinent, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, dans le domaine du sport, de l'actualité et des loisirs, par l'intermédiaire de toutes les formes de diffusion possibles. " Une collaboration avec Talpa, la société de médias de John de Mol, doit générer davantage de revenus en provenance de la télévision, de la radio et d'Internet. En 2019, plus de 25 % du chiffre d'affaires devra venir des activités numériques - soit presqu'un doublement par rapport à 2015.

Le Telegraaf doit composer non seulement avec un tirage qui a baissé de 9 % en un an de temps, à environ 400 000 exemplaires, mais aussi avec une chute de 21,8 % de ses recettes publicitaires. Lundi dernier, il a été suggéré dans la presse financière néerlandaise que TMG pourrait arrêter l'édition numérique du dimanche du Telegraaf ou supprimer des éditions en semaine, mais ces mesures ne sont pas encore à l'ordre du jour. Mardi, TMG s'est expliqué sur ses plans face à ses investisseurs. Par exemple, le démantèlement du portefeuille immobilier, à travers une cession-bail du siège amstellodamois, pourrait lui permettre de dégager davantage de moyens. La réduction de la capacité d'impression propre, de dix à cinq presses (jusqu'après que celles-ci eurent subi une rénovation approfondie jusqu'en 2015) a commencé entre-temps à porter ses fruits, de même que la sous-traitance de la production des imprimés à des parties extérieures, dont aussi Concentra Grafic. Annoncée pour plus tard dans le mois, la mise aux enchères en ligne de l'inventaire propre de l'imprimerie va peut-être aussi rapporter un peu d'argent.Alors que TMG s'efforce de mettre de l'ordre dans ses finances, le groupe met également en oeuvre de grands changements du point de vue organisationnel en vue de pouvoir réaliser sa stratégie " 24/7 " : " Notre mission est de fournir à nos consommateurs une haute qualité de contenu personnalisé et pertinent, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, dans le domaine du sport, de l'actualité et des loisirs, par l'intermédiaire de toutes les formes de diffusion possibles. " Une collaboration avec Talpa, la société de médias de John de Mol, doit générer davantage de revenus en provenance de la télévision, de la radio et d'Internet. En 2019, plus de 25 % du chiffre d'affaires devra venir des activités numériques - soit presqu'un doublement par rapport à 2015.