L'histoire du journal remonte à 1899. Un premier tirage hebdomadaire de 700 exemplaires était alors imprimé sur une presse à vapeur, pour être ensuite plié et rogné à la main. Louis De Knijf a repris l'imprimerie et le journal après la Deuxième Guerre mondiale. L'hebdomadaire payant est ensuite devenu un toutes-boîtes publicitaire gratuit, qui paraissait 21 fois l'an à 50 000 exemplaires et était distribué dans tout le Pajottenland. Marleen et Hilde De Knijf, troisième génération à la barre, ont malgré tout pris la décision d'arrêter les frais : " Le paysage des médias change en permanence. Les gens utilisent de plus en plus leur ordinateur, tablette ou smartphone pour leurs recherches sur des commerces ou des produits. La variante numérique occupe désormais le haut du pavé et le journal papier disparaît peu à peu du quotidien. "
Ultime édition de Het Pajottenland après 118 ans
" Het Pajottenland " est sorti de presse pour la toute dernière fois chez l'imprimeur De Knijf, à Gooik. C'est ainsi, " non sans un pincement de coeur " qu'il a été mis fin aux 118 ans d'existence du bimensuel régional.

L'histoire du journal remonte à 1899. Un premier tirage hebdomadaire de 700 exemplaires était alors imprimé sur une presse à vapeur, pour être ensuite plié et rogné à la main. Louis De Knijf a repris l'imprimerie et le journal après la Deuxième Guerre mondiale. L'hebdomadaire payant est ensuite devenu un toutes-boîtes publicitaire gratuit, qui paraissait 21 fois l'an à 50 000 exemplaires et était distribué dans tout le Pajottenland. Marleen et Hilde De Knijf, troisième génération à la barre, ont malgré tout pris la décision d'arrêter les frais : " Le paysage des médias change en permanence. Les gens utilisent de plus en plus leur ordinateur, tablette ou smartphone pour leurs recherches sur des commerces ou des produits. La variante numérique occupe désormais le haut du pavé et le journal papier disparaît peu à peu du quotidien. "