Ce plan de réorganisation s'inscrit dans le cadre du rachat par UPM de son concurrent Myllykoski, qui vient d'être approuvé par les autorités européennes.

Parmi les mesures prévues figurent notamment la fermeture de l'usine Myllykoski de Kouvola, en Finlande, la fermeture de l'usine UPM d'Albbruck, en Allemagne, l'arrêt d'une machine dans une autre usine allemande, à Ettringen, ainsi que la vente de l'usine UPM Stracel, à Strasbourg. Le plan envisage en outre des arrêts temporaires de production, ainsi que la restructuration du réseau commercial, de la chaîne logistique et des fonctions internationales.

Au total, il signifie la suppression d'une capacité de production de 1,2 millions de tonnes de papier magazine et de 110.000 tonnes de papier journal ; deux segments où UPM et Myllykoski détiennent chacun de fortes positions. La mise en oeuvre du plan et les synergies dégagées entre les deux organisations doivent permettre, à terme, une économie annuelle de 200 millions d'euros.

"L'industrie papetière doit aujourd'hui faire face à de lourds défis, liés au prix élevé des matières premières, de l'énergie et de la logistique ainsi qu'à des surcapacités considérables", a déclaré Jussi Pesonen, président de UPM. "La rentabilité de notre activité papetière est clairement inférieure au niveau requis pour garantir sa pérennité à long terme. (...) Les mesures prévues nous permettront de répondre au défi de la surcapacité à notre bénéfice. En outre, nous garantirons une exploitation efficace de la capacité restante. Cependant, le plan ne résoudra pas le problème des coûts auquel est confrontée l'industrie."

Ce plan de réorganisation s'inscrit dans le cadre du rachat par UPM de son concurrent Myllykoski, qui vient d'être approuvé par les autorités européennes. Parmi les mesures prévues figurent notamment la fermeture de l'usine Myllykoski de Kouvola, en Finlande, la fermeture de l'usine UPM d'Albbruck, en Allemagne, l'arrêt d'une machine dans une autre usine allemande, à Ettringen, ainsi que la vente de l'usine UPM Stracel, à Strasbourg. Le plan envisage en outre des arrêts temporaires de production, ainsi que la restructuration du réseau commercial, de la chaîne logistique et des fonctions internationales. Au total, il signifie la suppression d'une capacité de production de 1,2 millions de tonnes de papier magazine et de 110.000 tonnes de papier journal ; deux segments où UPM et Myllykoski détiennent chacun de fortes positions. La mise en oeuvre du plan et les synergies dégagées entre les deux organisations doivent permettre, à terme, une économie annuelle de 200 millions d'euros. "L'industrie papetière doit aujourd'hui faire face à de lourds défis, liés au prix élevé des matières premières, de l'énergie et de la logistique ainsi qu'à des surcapacités considérables", a déclaré Jussi Pesonen, président de UPM. "La rentabilité de notre activité papetière est clairement inférieure au niveau requis pour garantir sa pérennité à long terme. (...) Les mesures prévues nous permettront de répondre au défi de la surcapacité à notre bénéfice. En outre, nous garantirons une exploitation efficace de la capacité restante. Cependant, le plan ne résoudra pas le problème des coûts auquel est confrontée l'industrie."