Tout sur publicité

La proposition du Parti populaire socialiste danois (SF) d'introduire un autocollant " OUI " se heurte à l'opposition de Grakom, la fédération nationale de l'industrie de la communication graphique. Un tel système d'opt-in pour la boîte aux lettres menacerait la survie des médias locaux et coûterait des emplois, et ce sans avoir le moindre effet positif pour l'environnement, argumente Grakom.

Le dépliant promotionnel de la chaîne de supermarchés Carrefour n'est plus uniquement diffusé sur papier en France, mais aussi via Whatsapp et Facebook Messenger. Et depuis décembre, on le trouve également sur YouTube. L'expérience est un tel succès que la Belgique aura probablement très bientôt son tour.

Fait amusant : un pure player comme Facebook investit le média papier pour sa communication de marque. Une présence qui interpelle à l'heure où les réseaux sociaux concurrencent plus que jamais les médias traditionnels sur le marché publicitaire.

Les règles relatives à l'empaquetage sous plastique des liasses de publications et de dépliants publicitaires varient dans notre pays selon la Région. Si l'interdiction est déjà en vigueur en Wallonie, elle n'est attendue en Flandre qu'à moyen voire long terme, écrit Febelgra.

Philippe Van Ongevalle, directeur général de Febelgra, dit regretter le projet de la Ville de Louvain d'introduire une vignette " OUI à la pub " à coller sur les boîtes aux lettres : " Ces initiatives individuelles vont à l'encontre de la politique de l'OVAM et du Ministre Van den Heuvel en matière d'autocollants. Nous avons dès lors pris contact avec le service compétent ainsi qu'avec le cabinet pour mettre les choses au clair. "

Google va permettre aux utilisateurs d'exercer davantage de contrôle sur les annonces que l'entreprise technologique leur présente. C'est ainsi qu'ils pourront désormais désactiver la fonction permettant à Google d'adapter les publicités à ce qu'elle sait sur eux.