Dans une lettre adressée aux exposants, le directeur du salon, Trevor Crawford, réaffirme l'engagement de l'Ipex en faveur de l'imprimé. Suite à la polémique suscitée, au mois de février, par l'annonce d'une nouvelle formule, il tente de rassurer : " Nous avions annoncé que le salon serait centré sur le numérique, ce que certains ont interprété en estimant que l'Ipex ne desservirait plus l'imprimeur offset. Rien n'est aussi éloigné de la vérité. Nous prévoyons que 80 % de nos visiteurs seront des imprimeurs commerciaux, qu'il soient actifs en offset, en numérique, ou dans une combinaison de ces processus. Les imprimeurs les plus florissants ne se définissent pas par le type de machine qu'ils exploitent. "

" L'Ipex sera en 2014 le seul événement réunissant l'ensemble de la chaîne graphique internationale ", souligne Trevor Crawford, qui revient sur les résultats d'une étude menée auprès de 1.600 imprimeurs du monde entier, interrogés sur leur intérêt pour le salon. Le directeur de l'Ipex contredit en outre les fournisseurs qui ont renoncé, privilégiant leurs propres événements : " Les imprimeurs recherchent à l'Ipex un leadership et une guidance essentiels. Ils leur faut un environnement neutre, qui ne soit pas contrôlé par un fournisseur unique, où ils trouvent l'espace et le temps nécessaires pour absorber les changements et les opportunités qui se présentent à eux. Nous leur fournirons un contenu de première classe, à travers des initiatives telles que le World Print Summit. "

Reste à voir si cette lettre suffira à stopper l'hémorragie. Les organisateurs de l'Ipex semblent avoir déjà tout tenté, depuis l'annonce du déménagement de Birmingham à Londres : un programme spécial VIP, une conférence, une nouvelle formule multimédia, une réduction de la durée de l'événement et des coûts pour les exposants... Rien n'y fait, la conjoncture semble tout simplement trop défavorable aux salons professionnels. À la liste des forfaits sont encore venus s'ajouter, ces deux dernières semaines, les noms de Mimaki et de Duplo. Le premier a choisi de se recentrer sur la Fespa ; le second estime désormais que " le retour sur investissement est trop incertain "...

Pas découragés, les organisateurs ont déjà ouvert une page de pré-inscription pour les visiteurs.

Dans une lettre adressée aux exposants, le directeur du salon, Trevor Crawford, réaffirme l'engagement de l'Ipex en faveur de l'imprimé. Suite à la polémique suscitée, au mois de février, par l'annonce d'une nouvelle formule, il tente de rassurer : " Nous avions annoncé que le salon serait centré sur le numérique, ce que certains ont interprété en estimant que l'Ipex ne desservirait plus l'imprimeur offset. Rien n'est aussi éloigné de la vérité. Nous prévoyons que 80 % de nos visiteurs seront des imprimeurs commerciaux, qu'il soient actifs en offset, en numérique, ou dans une combinaison de ces processus. Les imprimeurs les plus florissants ne se définissent pas par le type de machine qu'ils exploitent. " " L'Ipex sera en 2014 le seul événement réunissant l'ensemble de la chaîne graphique internationale ", souligne Trevor Crawford, qui revient sur les résultats d'une étude menée auprès de 1.600 imprimeurs du monde entier, interrogés sur leur intérêt pour le salon. Le directeur de l'Ipex contredit en outre les fournisseurs qui ont renoncé, privilégiant leurs propres événements : " Les imprimeurs recherchent à l'Ipex un leadership et une guidance essentiels. Ils leur faut un environnement neutre, qui ne soit pas contrôlé par un fournisseur unique, où ils trouvent l'espace et le temps nécessaires pour absorber les changements et les opportunités qui se présentent à eux. Nous leur fournirons un contenu de première classe, à travers des initiatives telles que le World Print Summit. " Reste à voir si cette lettre suffira à stopper l'hémorragie. Les organisateurs de l'Ipex semblent avoir déjà tout tenté, depuis l'annonce du déménagement de Birmingham à Londres : un programme spécial VIP, une conférence, une nouvelle formule multimédia, une réduction de la durée de l'événement et des coûts pour les exposants... Rien n'y fait, la conjoncture semble tout simplement trop défavorable aux salons professionnels. À la liste des forfaits sont encore venus s'ajouter, ces deux dernières semaines, les noms de Mimaki et de Duplo. Le premier a choisi de se recentrer sur la Fespa ; le second estime désormais que " le retour sur investissement est trop incertain "... Pas découragés, les organisateurs ont déjà ouvert une page de pré-inscription pour les visiteurs.