Chris De Hollander, directeur de Langerbrugge à l'époque, avait déclaré le 26 juin 2019 vouloir " pleinement collaborer " à l'enquête menée par les autorités. Alors que la source de l'épidémie n'avait pas encore été définitivement identifiée, il avait été décidé d'arrêter la tour de refroidissement suspectée (photo) pour la nettoyer et la désinfecter par mesure de précaution.

Les conclusions de l'enquête à présent bouclée n'ont pas encore été communiquées : " Le parquet va se pencher sur l'affaire et il prendra position. Nous ne sommes pas en mesure, au stade actuel, de communiquer des informations significatives en rapport avec l'enquête. " Même Frank Scheerlinck, avocat de plusieurs parties lésées, n'a pas eu accès au dossier selon VRT Nws. On ignore dès lors si celui-ci aura des suites judiciaires et si la responsabilité de Stora Enso sera ou non mise en cause.

Chris De Hollander, directeur de Langerbrugge à l'époque, avait déclaré le 26 juin 2019 vouloir " pleinement collaborer " à l'enquête menée par les autorités. Alors que la source de l'épidémie n'avait pas encore été définitivement identifiée, il avait été décidé d'arrêter la tour de refroidissement suspectée (photo) pour la nettoyer et la désinfecter par mesure de précaution.Les conclusions de l'enquête à présent bouclée n'ont pas encore été communiquées : " Le parquet va se pencher sur l'affaire et il prendra position. Nous ne sommes pas en mesure, au stade actuel, de communiquer des informations significatives en rapport avec l'enquête. " Même Frank Scheerlinck, avocat de plusieurs parties lésées, n'a pas eu accès au dossier selon VRT Nws. On ignore dès lors si celui-ci aura des suites judiciaires et si la responsabilité de Stora Enso sera ou non mise en cause.