Dans ce rapport, le Parlement européen reconnaît " le champ limité des produits du bois visés par l'actuel Règlement européen dans le domaine du bois " et il appelle à " étendre ce champ d'application, par exemple, aux produits imprimés ".

Depuis l'adoption du Règlement bois (EUTR) en 2010, Intergraf plaide pour un élargissement de son champ d'application à l'imprimé.

Le Règlement bois est l'une des mesures majeures prises par l'Union européenne pour lutter contre la coupe de bois illégale. Elle a pour objectif d'empêcher que des produits du bois provenant de forêts coupées illégalement ne soit vendus sur le marché européen. Un grand nombre de produits en papier sont visés par le Règlement, mais pas les imprimés. Des produits imprimés pour des millions d'euros continuent ainsi d'être écoulés sur le marché européen sans aucune garantie quant à la provenance du papier.

Beatrice Klose, secrétaire générale d'Intergraf : " L'exploitation forestière illégale entache la réputation de l'industrie graphique et nuit à l'image des produits imprimés. Il n'est pas acceptable que la réputation des entreprises européennes soit ternie à cause de la teneur en bois de provenance illégale de produits imprimés qui sont commercialisés sur le marché communautaire. Il est par ailleurs important que le consommateur européen puisse avoir la certitude que les produits imprimés qu'il peut trouver sur le marché ne contiennent pas de bois d'origine illégale. "

L'omission des produits imprimés du champ d'application de l'EUTR fausse la concurrence entre les produits imprimés fabriqués dans l'Union européenne avec des matières premières conformes aux exigences et ceux qui viennent d'en dehors de l'UE et peuvent être librement importés et commercialisés sur le marché européen sans considération de l'origine de leur matière première.

Laetitia Reynaud, Policy Advisor chez Intergraf, a clarifié la position de la Fédération : " Une extension du champ d'application de l'EUTR ne créerait pas une charge régulatoire supplémentaire pour les imprimeurs européens étant donné que le papier et le carton qu'ils achètent est déjà conforme. En revanche, elle offrirait l'assurance que les imprimés importés présentent les mêmes garanties que les produits européens. "

Dans ce rapport, le Parlement européen reconnaît " le champ limité des produits du bois visés par l'actuel Règlement européen dans le domaine du bois " et il appelle à " étendre ce champ d'application, par exemple, aux produits imprimés ".Depuis l'adoption du Règlement bois (EUTR) en 2010, Intergraf plaide pour un élargissement de son champ d'application à l'imprimé.Le Règlement bois est l'une des mesures majeures prises par l'Union européenne pour lutter contre la coupe de bois illégale. Elle a pour objectif d'empêcher que des produits du bois provenant de forêts coupées illégalement ne soit vendus sur le marché européen. Un grand nombre de produits en papier sont visés par le Règlement, mais pas les imprimés. Des produits imprimés pour des millions d'euros continuent ainsi d'être écoulés sur le marché européen sans aucune garantie quant à la provenance du papier.Beatrice Klose, secrétaire générale d'Intergraf : " L'exploitation forestière illégale entache la réputation de l'industrie graphique et nuit à l'image des produits imprimés. Il n'est pas acceptable que la réputation des entreprises européennes soit ternie à cause de la teneur en bois de provenance illégale de produits imprimés qui sont commercialisés sur le marché communautaire. Il est par ailleurs important que le consommateur européen puisse avoir la certitude que les produits imprimés qu'il peut trouver sur le marché ne contiennent pas de bois d'origine illégale. "L'omission des produits imprimés du champ d'application de l'EUTR fausse la concurrence entre les produits imprimés fabriqués dans l'Union européenne avec des matières premières conformes aux exigences et ceux qui viennent d'en dehors de l'UE et peuvent être librement importés et commercialisés sur le marché européen sans considération de l'origine de leur matière première.Laetitia Reynaud, Policy Advisor chez Intergraf, a clarifié la position de la Fédération : " Une extension du champ d'application de l'EUTR ne créerait pas une charge régulatoire supplémentaire pour les imprimeurs européens étant donné que le papier et le carton qu'ils achètent est déjà conforme. En revanche, elle offrirait l'assurance que les imprimés importés présentent les mêmes garanties que les produits européens. "