Rappel des faits :

-Rothoma Printing a abandonné ses plans de reprise de Corelio Printing, à Erpe-Mere.

-Rothoma Printing, société de la famille Bongaerts, a été mise dans l'obligation par le tribunal de verser le montant de la reprise (1 million d'euros) tel que négocié avec la curatrice. L'astreinte a été fixée à 500 000 euros par jour.

-En attendant, les presses sont à l'arrêt depuis le jeudi 5 septembre après-midi. Or la poursuite des activités d'impression constituait l'une des conditions de la reprise, écrit Het laatste Nieuws.

Le 18 septembre (mercredi dernier), le tribunal de l'entreprise de Termonde s'est prononcé en référé. Les discussions en vue de sortir de l'impasse auraient été constructives, selon Eric Bongaerts. " Il est acquis que du côté de Rothoma Printing, les portes de l'imprimerie Corelio Printing resteront closes et que les biens et marchandises provenant de la faillite seront vendus ou liquidés, soit par la curatrice soit par la banque ING. ING est propriétaire de quatre des six machines importantes (qui ne sont pas toutes des presses) ainsi que des bâtiments. Les huit jours que le personnel a prestés pour Rothoma via l'agence d'intérim ont effectivement été payés par Rothoma à l'intermédiaire. Le personnel était au travail sous régime intérimaire via la curatrice. 40 % des clients sont en outre partis chercher une solution temporaire ou permanente auprès d'autres imprimeries. Ce qu'il reste du chiffre d'affaires n'est pour une grande part pas rentable et ne suffit pas pour assurer la viabilité de l'entreprise. Un certain nombre de conditions suspensives à l'accord de reprise ne sont pas remplies selon nous, ce qui a amené Rothoma Printing à renoncer à reprendre l'imprimerie faillie. Nous cherchons actuellement une solution définitive à la situation en concertation avec les différentes parties. "

Rappel des faits :-Rothoma Printing a abandonné ses plans de reprise de Corelio Printing, à Erpe-Mere.-Rothoma Printing, société de la famille Bongaerts, a été mise dans l'obligation par le tribunal de verser le montant de la reprise (1 million d'euros) tel que négocié avec la curatrice. L'astreinte a été fixée à 500 000 euros par jour.-En attendant, les presses sont à l'arrêt depuis le jeudi 5 septembre après-midi. Or la poursuite des activités d'impression constituait l'une des conditions de la reprise, écrit Het laatste Nieuws.Le 18 septembre (mercredi dernier), le tribunal de l'entreprise de Termonde s'est prononcé en référé. Les discussions en vue de sortir de l'impasse auraient été constructives, selon Eric Bongaerts. " Il est acquis que du côté de Rothoma Printing, les portes de l'imprimerie Corelio Printing resteront closes et que les biens et marchandises provenant de la faillite seront vendus ou liquidés, soit par la curatrice soit par la banque ING. ING est propriétaire de quatre des six machines importantes (qui ne sont pas toutes des presses) ainsi que des bâtiments. Les huit jours que le personnel a prestés pour Rothoma via l'agence d'intérim ont effectivement été payés par Rothoma à l'intermédiaire. Le personnel était au travail sous régime intérimaire via la curatrice. 40 % des clients sont en outre partis chercher une solution temporaire ou permanente auprès d'autres imprimeries. Ce qu'il reste du chiffre d'affaires n'est pour une grande part pas rentable et ne suffit pas pour assurer la viabilité de l'entreprise. Un certain nombre de conditions suspensives à l'accord de reprise ne sont pas remplies selon nous, ce qui a amené Rothoma Printing à renoncer à reprendre l'imprimerie faillie. Nous cherchons actuellement une solution définitive à la situation en concertation avec les différentes parties. "