La Banque nationale conclut que la baisse de chiffre d'affaires de mars " représente une amélioration très limitée d'un point de pourcentage par rapport à l'enquête de février, mais une amélioration plus conséquente de huit points de pourcentage par rapport à celle de novembre. " Pour la branche graphique (rangée dans la catégorie " Travail du bois, industrie du papier, imprimerie "), la situation actuelle conduit à une détérioration de 2 points de pourcentage par rapport aux -14 % du mois de novembre.

Selon cette dernière enquête, l'industrie belge s'attend à ce que les ventes, pour l'ensemble de l'année 2021, soient inférieures de 8 % à ce qu'elles auraient été sans la crise du coronavirus. Le secteur graphique table quant à lui sur un chiffre d'affaires en recul de 13 %. La perte attendue pour 2022 atteindrait encore 4 % pour l'industrie dans son ensemble, mais les entreprises graphiques sont encore plus pessimistes et disent tabler sur une perte de 7 %. Les perspectives se sont dégradées depuis février.

Selon la BNB, la part d'entreprises connaissant des problèmes de liquidité est restée relativement stable, à 32 %. Dans le graphique, elle s'affiche à 40 % (en février, elle était de 28 %). Les principales raisons à l'origine de ces problèmes de liquidité sont la perte de chiffre d'affaires (16 %) et les retards de paiement des clients (11 %). Dans le secteur graphique, ces chiffres sont de 27 % et 13 %, respectivement.

La BNB fait remarquer que l'enquête a principalement été menée dans la semaine du 16 mars, et donc avant le report des assouplissements prévus. Par conséquent, " de manière générale, les résultats ne reflètent vraisemblablement pas encore la plus grande probabilité de voir imposer de nouvelles mesures (corona) restrictives. "

La Banque nationale conclut que la baisse de chiffre d'affaires de mars " représente une amélioration très limitée d'un point de pourcentage par rapport à l'enquête de février, mais une amélioration plus conséquente de huit points de pourcentage par rapport à celle de novembre. " Pour la branche graphique (rangée dans la catégorie " Travail du bois, industrie du papier, imprimerie "), la situation actuelle conduit à une détérioration de 2 points de pourcentage par rapport aux -14 % du mois de novembre.Selon cette dernière enquête, l'industrie belge s'attend à ce que les ventes, pour l'ensemble de l'année 2021, soient inférieures de 8 % à ce qu'elles auraient été sans la crise du coronavirus. Le secteur graphique table quant à lui sur un chiffre d'affaires en recul de 13 %. La perte attendue pour 2022 atteindrait encore 4 % pour l'industrie dans son ensemble, mais les entreprises graphiques sont encore plus pessimistes et disent tabler sur une perte de 7 %. Les perspectives se sont dégradées depuis février.Selon la BNB, la part d'entreprises connaissant des problèmes de liquidité est restée relativement stable, à 32 %. Dans le graphique, elle s'affiche à 40 % (en février, elle était de 28 %). Les principales raisons à l'origine de ces problèmes de liquidité sont la perte de chiffre d'affaires (16 %) et les retards de paiement des clients (11 %). Dans le secteur graphique, ces chiffres sont de 27 % et 13 %, respectivement.La BNB fait remarquer que l'enquête a principalement été menée dans la semaine du 16 mars, et donc avant le report des assouplissements prévus. Par conséquent, " de manière générale, les résultats ne reflètent vraisemblablement pas encore la plus grande probabilité de voir imposer de nouvelles mesures (corona) restrictives. "