Nous demandons d'ailleurs aussi les permis nécessaires aux recycleurs et réalisons des audits sur place via SGS. L'objectif est de vérifier qu'ils recyclent bien les matériaux et que cela se passe dans des "broadly equivalent conditions", c'est-à-dire dans le respect des règles générales relatives au travail des enfants, à la préservation de l'environnement et aux conditions de sécurité. Nous avons à ce jour déjà procédé à onze audits, ce qui représente un contrôle de 35 % du tonnage à l'exportation. L'objectif est de parvenir à auditer 90 % des flux de déchets d'emballages plastiques industriels exportés d'ici 2024."

Également une vision de la destination finale des papiers/cartons

455 kT de déchets d'emballages en papier et carton sont également collectées chaque année. "Dont 70 % sont acheminées chez recycleurs européen", explique Jens Poelaert. "Ce qui donne une situation totalement inversée : 30 % seulement sont négociées via des traders. Nous pouvons obtenir les informations relatives à la destination finale des papiers/cartons auprès de nos collecteurs affiliés. Cette année, nous commençons leur enregistrement pour cartographier clairement le marché, car on estime que 21 % du matériau est transformé sur d'autres continents. L'Inde surtout joue un grand rôle."

Stimuler le recyclage local

Pour stimuler le recyclage local des emballages plastiques industriels, Valipac octroie à partir de cette année une rétribution supplémentaire aux collecteurs et traders pour les déchets d'emballages qui sont recyclés au sein de l'Union européenne. Si le recyclage est effectué dans un rayon de 300 km autour de Bruxelles et par un recycleur certifié EuCertPlast (ou équivalent), les collecteurs et traders peuvent percevoir jusqu'à 35 €/tonne en plus. "Le recyclage local, ou le recyclage au sein de l'UE, est l'assise d'une plus grande circularité. Les flux recyclés localement sont en effet mieux traçables", conclut Ingrid Bouchez.

Nous demandons d'ailleurs aussi les permis nécessaires aux recycleurs et réalisons des audits sur place via SGS. L'objectif est de vérifier qu'ils recyclent bien les matériaux et que cela se passe dans des "broadly equivalent conditions", c'est-à-dire dans le respect des règles générales relatives au travail des enfants, à la préservation de l'environnement et aux conditions de sécurité. Nous avons à ce jour déjà procédé à onze audits, ce qui représente un contrôle de 35 % du tonnage à l'exportation. L'objectif est de parvenir à auditer 90 % des flux de déchets d'emballages plastiques industriels exportés d'ici 2024."Également une vision de la destination finale des papiers/cartons455 kT de déchets d'emballages en papier et carton sont également collectées chaque année. "Dont 70 % sont acheminées chez recycleurs européen", explique Jens Poelaert. "Ce qui donne une situation totalement inversée : 30 % seulement sont négociées via des traders. Nous pouvons obtenir les informations relatives à la destination finale des papiers/cartons auprès de nos collecteurs affiliés. Cette année, nous commençons leur enregistrement pour cartographier clairement le marché, car on estime que 21 % du matériau est transformé sur d'autres continents. L'Inde surtout joue un grand rôle." Stimuler le recyclage localPour stimuler le recyclage local des emballages plastiques industriels, Valipac octroie à partir de cette année une rétribution supplémentaire aux collecteurs et traders pour les déchets d'emballages qui sont recyclés au sein de l'Union européenne. Si le recyclage est effectué dans un rayon de 300 km autour de Bruxelles et par un recycleur certifié EuCertPlast (ou équivalent), les collecteurs et traders peuvent percevoir jusqu'à 35 €/tonne en plus. "Le recyclage local, ou le recyclage au sein de l'UE, est l'assise d'une plus grande circularité. Les flux recyclés localement sont en effet mieux traçables", conclut Ingrid Bouchez.