EFI a conclu le rachat de la société espagnole Cretaprint, qui fournit des systèmes d'impression inkjet sur céramique, pour un montant de 31 millions de dollars assorti d'une clause d'intéressement de 21 millions de dollars. EFI prévoit que Cretaprint contribuera dès cette année à ses bénéfices dans une proportion de 5 à 7 %.
Guy Gecht, le patron d'EFI, a souligné que sa société bénéficiait déjà d'un fort effet d'entraînement de ses activités de jet d'encre industriel. Un mouvement que le rachat de Cretaprint doit encore amplifier.
Cretaprint, qui emploie 122 personnes, opérera comme une unité indépendante au sein d'EFI et conservera son actuel directeur général, Victor Blasco. La marque Cretaprint devrait également être maintenue par EFI, à l'instar de Vutek ou de Jetrion. Les systèmes Cretaprint sont essentiellement utilisés pour imprimer des carrelages. Sur ce marché, la part détenue par l'entreprise espagnole est évaluée à 25 %.
Guy Gecht, le patron d'EFI, a souligné que sa société bénéficiait déjà d'un fort effet d'entraînement de ses activités de jet d'encre industriel. Un mouvement que le rachat de Cretaprint doit encore amplifier. Cretaprint, qui emploie 122 personnes, opérera comme une unité indépendante au sein d'EFI et conservera son actuel directeur général, Victor Blasco. La marque Cretaprint devrait également être maintenue par EFI, à l'instar de Vutek ou de Jetrion. Les systèmes Cretaprint sont essentiellement utilisés pour imprimer des carrelages. Sur ce marché, la part détenue par l'entreprise espagnole est évaluée à 25 %.