Benny Landa, de retour dix ans après avoir vendu Indigo à HP, a volé la vedette avec ses presses " nanographiques ". Voilà une entreprise qui n'a rien à vendre - la première installation n'est pas attendue avant fin 2013 - mais qui a loué le quart d'un palais, qui présente pas moins de six modèles de presses, et avec laquelle trois grands constructeurs offset se sont empressés de conclure des partenariats : Komori, Heidelberg et manroland sheetfed. Chapeau bas !

Près de vingt ans après l'Ipex 1993, l'histoire semble se répéter en plaçant face à face Landa et Xeikon, les fondateurs de l'impression numérique de production. Xeikon a lui aussi dévoilé un développement technologie prometteur : Trillium, qui utilise du toner liquide. C'est également une technologie de toner liquide qui est à la base du projet commun de Ryobi et Miyakoshi.

Les presses numériques B2 font bien sûr l'actualité. Non seulement celles de Landa Corporation, Ryobi et Miyakoshi, mais aussi l'Alphajet de MGI, les nouvelles HP Indigo, la KM1 de KonicaMinolta et Komori, sans oublier Screen, ni Fujifilm.

Un autre acteur a beaucoup fait parler de lui en première semaine : Memjet, dont la technologie de jet d'encre ultra-rapide est désormais intégrée par plusieurs partenaires, dont Delphax, Canon/Océ et FujiXerox.

Toujours dans le domaine du jet d'encre, on a pu découvrir la RotaJet de KBA, très attendue. Kodak, en pleine transformation, a présenté la Prosper6000XL. Ricoh s'est à son tour lancé dans l'impression latex pour le segment de l'enseigne. Screen et Durst proposent de nouvelles presses numériques pour étiquettes, de même que EFI, qui expose sur son stand une presse numérique pour étiquettes avec finition en ligne. Dans le domaine du toner sec, Xerox a marqué un nouveau jalon en poussant sa presse iGen jusqu'à 150 ppm, soit 25 % de mieux que l'iGen4.

Enfin, les constructeurs offset s'efforcent de garder le concurrent numérique en respect, en réduisant les temps d'arrêt, en dopant la vitesse de leurs presses et en optimisant les formats. Heidelberg a ainsi présenté une Speedmaster XL106 au format encore un peu agrandi (75x106 cm), capable d'atteindre les 18.000 feuilles R/V à l'heure, tandis que manroland sheetfed a poussé la Roland 700, à 17.000 feuilles à l'heure. KBA présente en démonstration plusieurs monstres de productivité.

Nous avons déjà développé une partie de ces informations sur notre site web, la semaine dernière, en direct de la drupa. Vous les y retrouverez dans la section " actualité ".

Benny Landa, de retour dix ans après avoir vendu Indigo à HP, a volé la vedette avec ses presses " nanographiques ". Voilà une entreprise qui n'a rien à vendre - la première installation n'est pas attendue avant fin 2013 - mais qui a loué le quart d'un palais, qui présente pas moins de six modèles de presses, et avec laquelle trois grands constructeurs offset se sont empressés de conclure des partenariats : Komori, Heidelberg et manroland sheetfed. Chapeau bas ! Près de vingt ans après l'Ipex 1993, l'histoire semble se répéter en plaçant face à face Landa et Xeikon, les fondateurs de l'impression numérique de production. Xeikon a lui aussi dévoilé un développement technologie prometteur : Trillium, qui utilise du toner liquide. C'est également une technologie de toner liquide qui est à la base du projet commun de Ryobi et Miyakoshi. Les presses numériques B2 font bien sûr l'actualité. Non seulement celles de Landa Corporation, Ryobi et Miyakoshi, mais aussi l'Alphajet de MGI, les nouvelles HP Indigo, la KM1 de KonicaMinolta et Komori, sans oublier Screen, ni Fujifilm. Un autre acteur a beaucoup fait parler de lui en première semaine : Memjet, dont la technologie de jet d'encre ultra-rapide est désormais intégrée par plusieurs partenaires, dont Delphax, Canon/Océ et FujiXerox.Toujours dans le domaine du jet d'encre, on a pu découvrir la RotaJet de KBA, très attendue. Kodak, en pleine transformation, a présenté la Prosper6000XL. Ricoh s'est à son tour lancé dans l'impression latex pour le segment de l'enseigne. Screen et Durst proposent de nouvelles presses numériques pour étiquettes, de même que EFI, qui expose sur son stand une presse numérique pour étiquettes avec finition en ligne. Dans le domaine du toner sec, Xerox a marqué un nouveau jalon en poussant sa presse iGen jusqu'à 150 ppm, soit 25 % de mieux que l'iGen4.Enfin, les constructeurs offset s'efforcent de garder le concurrent numérique en respect, en réduisant les temps d'arrêt, en dopant la vitesse de leurs presses et en optimisant les formats. Heidelberg a ainsi présenté une Speedmaster XL106 au format encore un peu agrandi (75x106 cm), capable d'atteindre les 18.000 feuilles R/V à l'heure, tandis que manroland sheetfed a poussé la Roland 700, à 17.000 feuilles à l'heure. KBA présente en démonstration plusieurs monstres de productivité.Nous avons déjà développé une partie de ces informations sur notre site web, la semaine dernière, en direct de la drupa. Vous les y retrouverez dans la section " actualité ".