HP avait organisé un concours parmi ses clients propriétaires d'une presse à étiquettes petite laize (34 cm de large) HP Indigo 8000 afin de faire la démonstration au public de la productivité de ses machines. Le défi : produire le plus grand nombre possible d'étiquettes sur la durée d'une pause. L'entreprise néerlandaise Interket s'est hissée dans le Top 3 avec 318 200 étiquettes, soit 20 880 mètres courants, répartis sur 30 travaux différents. La vente de la 200e HP Indigo 20000, presse de 76 cm pour emballages souples, a également été célébrée pendant Labelexpo. L'acheteur est la société slovène LabelProfi. Ce modèle faisait partie d'une ligne de fabrication de poches souples présentée en plein travail sur le stand et composée comme suit : HP Indigo 20000 + solution Pack Ready Lamination + système de coupe en bobineaux + machine de fabrication de poches de Karlville. Le tout pour produire des sachets à maintien vertical.
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HP avait organisé un concours parmi ses clients propriétaires d'une presse à étiquettes petite laize (34 cm de large) HP Indigo 8000 afin de faire la démonstration au public de la productivité de ses machines. Le défi : produire le plus grand nombre possible d'étiquettes sur la durée d'une pause. L'entreprise néerlandaise Interket s'est hissée dans le Top 3 avec 318 200 étiquettes, soit 20 880 mètres courants, répartis sur 30 travaux différents. La vente de la 200e HP Indigo 20000, presse de 76 cm pour emballages souples, a également été célébrée pendant Labelexpo. L'acheteur est la société slovène LabelProfi. Ce modèle faisait partie d'une ligne de fabrication de poches souples présentée en plein travail sur le stand et composée comme suit : HP Indigo 20000 + solution Pack Ready Lamination + système de coupe en bobineaux + machine de fabrication de poches de Karlville. Le tout pour produire des sachets à maintien vertical.Le constructeur a aussi présenté en démonstration différentes techniques d'ennoblissement pour ses presses numériques. HP Indigo GEM, tout d'abord, est une machine d'ennoblissement numérique en ligne de la société canadienne JetFX. Placée en aval de la presse sept couleurs HP Indigo WS 6900, elle permet d'apposer un vernis (sélectif) de différentes épaisseurs et/ou de pelliculer le support imprimé en un seul passage. La HP Indigo 6900 configurée en ligne avec la Kurz DM-Jetliner peut quant à elle appliquer une feuille métallique préimprimée, ou à imprimer ensuite par la technique de la dorure à froid numérique (vitesse de 65 m/min, résolution de 600 x 600 dpi ; avec encre argentée HP). La société allemande All-41abels imprimait des étiquettes sur une presse Indigo 6900 pour un liquide vaisselle du fabricant Ariel. Ces étiquettes étaient d'abord enrichies d'une feuille argentée sur la Kurz DM-Jetliner puis encore imprimées après coup.Xeikon a mis au point une application permettant de restituer fidèlement les couleurs à base de CMJN indépendamment des différentes techniques et des supports d'impression employés. De quoi garantir l'obtention d'un résultat identique sur les étiquettes quel que soit le procédé utilisé. Après la première mondiale lors de son évènement Xeikon Café à l'usine de Lierre, Xeikon a une nouvelle fois présenté sa solution fleXflow dédiée à la production numérique et à la finition analogique de poches souples à fond plat. " Pour une fabrication rapide de 1 à 20 000 pouches, entièrement variables au niveau des images, des couleurs et du texte, suivant un procédé 100 % respectueux de l'environnement (toner sec et thermopelliculage). "La série de presses jet d'encre UV Canon Océ LabelStream 4000 a fait sa première apparition au salon. Ces machines disposent de têtes à jet d'encre UV Xaar 2001 offrant des résolutions jusqu'à 720 x 1 080 dpi, pour des vitesses d'impression de 40 à 75 m/min. Elles sont disponibles en configurations autonomes rouleau-rouleau ou hybrides, associées à des unités de flexographie, de façonnage et d'ennoblissement. Des démonstrations étaient proposées sur une presse hybride imprimant des supports PP et PE pour différentes applications.On a sabré le Champagne sur le stand de Durst l'avant-dernier jour du salon. Objet des réjouissances : la vente d'une presse Tau 330 RSC E à l'imprimeur belge Label Products, à Waregem, par les bons soins de Wifac, représentant pour le Benelux.La nouvelle Durst Tau 330 RSCI est une presse à étiquettes à jet d'encre UV offrant une résolution de 1 200 x 1 200 dpi pour des vitesses allant jusqu'à 100 m/min (80 m/min pour la couleur blanche). Elle est disponible avec des largeurs d'impression maximale de 330 mm, 420 mm et 510 mm, Ces machines sont évolutives : les clients peuvent commencer avec une RSCi 330 mm quatre couleurs et la transformer plus tard en une 420 mm ou 510 mm, y compris en ajoutant des couleurs supplémentaires (max. 8). Un module numérique est également disponible pour les presses hybrides comme l'Omet Xjet. Une nouvelle encre à faible migration est par ailleurs annoncée pour la plate-forme RSC.Bandall a introduit à Labelexpo une machine destinée à banderoler des étiquettes moulées de forme incurvée. Les piles de telles étiquettes IML (petites à très grandes) aurait tendance à se décaler après le premier banderolage, eu égard aux contours en forme de banane. Ce qui compliquerait la pose d'une deuxième banderole, qui ne serait plus parfaitement positionnée sous l'arc de banderolage. Rinze van der Vinne, International Sales Director, explique que la banderoleuse Bandall TRBs présentée évite ce désagrément grâce à un " pusher " spécialement mis au point, qui remet les étiquettes moulées bien en place. Les IML à banderoler sont de nouveau bien perpendiculaires dans un angle de 90 ° par rapport à l'arc de banderolage.Bandall dit avoir déjà vendu plusieurs machines de ce type. L'entreprise travaille même sur une évolution, a confié Van der Vinne. Celle-ci est équipée d'un convoyeur " affleurant ", qui réduit le creux entre les deux parties de tapis, de sorte que les étiquettes moulées effectuent un trajet encore plus stable jusqu'à l'arc de banderolage. La cartonnette en haut ou au bas de la pile devient ainsi superflue. Elle est désormais utilisée pour consolider la pile.Labelexpo ne se focalise plus uniquement sur les étiquettes mais s'intéresse aussi depuis quelques années aux emballages souples. Un bel exemple en était offert par la société belge Ability Access, qui représente le constructeur italien Rigoli chez nous.Celui-ci a récemment mis sur le marché l'imprimante à jet d'encre MVZ-1000 à 5 têtes Memjet, destinée à l'impression flexible d'emballages en connexion directe avec les machines de conditionnement. Une démonstration d'application concrète a été donnée sur le stand d'Ability Access où une formeuse-ensacheuse-soudeuse de Dolzan remplissait des sachets. Le film imprimé arrive à la machine d'emballage en transitant par un tampon mécanique. Le but de ce buffer est de permettre à l'emballeuse de poursuivre la production au cas où l'imprimante serait brièvement arrêtée.Celle-ci peut imprimer aussi bien sur papier que sur un complexe film avec couche externe en papier ou un film plastique revêtu d'un coating compatible avec les encres à l'eau.La MVZ offre une largeur d'impression maxi de 1 067 mm et peut imprimer jusqu'à 18 mètres/min. Cette productivité se comprend pour une résolution 1 600 x 800 dpi ; en 1 600 x 1 600 dpi, la vitesse est de 9 mètres par minute. La machine a été développée par Rigoli en partenariat avec Matek, qui a pris à son compte le mécanisme d'alimentation par rouleaux et le raccordement aux machines d'emballage.Comme l'a expliqué André Moyersoen, directeur d'Ability Access, l'imprimante MVZ est un modèle d'entrée pour petites et moyennes quantités. La machine présentée au salon avait été vendue au torréfacteur britannique Chartley Coffee.À Labelexpo Europe, la société wavrienne Label-Pak s'est offert une presse numérique à étiquettes Domino.La Domino N610i est une presse à jet d'encre UV bobine-bobine de 333 mm de large pouvant embarquer jusqu'à sept couleurs (dont le blanc couvrant). Sa résolution d'impression est de 600 dpi pour des vitesses de production allant jusqu'à 75 m/min.Label-Pak a investi pour la première fois dans la technologie numérique voici 5 ans afin de répondre à la demande de petits tirages. Cette entreprise familiale fondée en 1968 maîtrise diverses techniques d'impression (sérigraphie, flexo UV et numérique) et d'ennoblissement. Elle est spécialisée dans les étiquettes autoadhésives, surtout en bobines, et emploie une trentaine de personnes.Johan van Veen, Sales Manager national d'ATS Banner, a expliqué que la société faisait ses débuts à Labelexpo. ATS a exposé tout un étalage d'étiquettes banderolées destiné à établir le contact avec le public du salon. Cette société qui a son siège en Suisse participait simultanément au salon de l'emballage Fachpack de Nuremberg. Elle y a surtout montré les possibilités du banderolage pour produits alimentaires en le présentant comme une solution faible consommatrice de matériau et respectueuse de l'environnement, pouvant remplacer un emballage intégral sous plastique ou papier.Reynders label printing a reçu un " European Converter of the Year Award " le 24 septembre, dans le cadre du salon Labelexpo de Bruxelles. Le jury a été sensible aux avancées récentes de Reynders dans le domaine des étiquettes livrets imprimées en polychromie numérique et à son investissement dans la production de " timbres fidélité ". Celui-ci a débouché en à peine 18 mois sur l'impression et la livraison de plus de six milliards d'étiquettes partout dans le monde. Reynders, qui promeut aussi des alternatives durables en matière d'étiquettes, compte sur l'installation de plus de 800 panneaux photovoltaïques et d'autres investissements planifiés pour réduire sa consommation d'eau, de gaz et d'électricité. Les membres du jury se sont également dits impressionnés par l'accent mis sur l'accompagnement des carrières et les activités afterwork pour le personnel.Reynders, société fondée en 1956, dispose aujourd'hui d'usines de production et de centres d'excellence en Belgique, France, Pologne, Espagne et Inde.Les Label Industry Global Awards ont été mis sur pied en 2004 pour célébrer l'innovation et l'excellence dans l'industrie de l'étiquette et de l'emballage. La remise des prix est organisée chaque année en alternance entre Labelexpo Europe (Bruxelles) et Labelexpo Americas (Chicago).Deux étudiants de l'Arteveldehogeschool Gent ont remporté chacun l'une des trois catégories du concours de la Finat.À travers ce concours, la Finat entend éveiller l'intérêt d'une nouvelle génération de professionnels et de jeunes potentialités pour une carrière d'avenir dans l'industrie de l'étiquette et de l'emballage. Le concours #Labelicious invitait les jeunes ingénieurs et designers (de 18 à 25 ans) actifs dans le domaine plus large de la gestion des ememballages et du brand management à partager leur vision rêvée des étiquettes du futur pour 2025. Trois catégories étaient proposées : étiquettes intelligentes, conception de la marque et développement durable. Cette première édition a été un franc succès avec la participation de près de 100 jeunes talents issus de 22 pays différents.Lucas Debock et Niels Hyde ont été respectivement primés dans les catégories " Smart Labels " et " Sustainability ". L'un et l'autre suivent les cours de l'orientation Grafimediabeleid à l'Arteveldehogeschool. Pour l'élaboration de leur projet, ils ont bénéficié du soutien de Bart Calis, enseignant à la Haute école, et d'une équipe de Reynders, imprimeur d'étiquettes.La " Smart Label " de Lucas Debock est une étiquette munie d'un compartiment pouvant renfermer une lingette, destinée, par exemple, à se nettoyer les doigts après consommation du contenu de l'emballage. Niels Hyde a pensé quant à lui à doter les canettes de boisson d'un couvercle supplémentaire, en papier ou d'une autre matière. " On peut ainsi refermer la canette après ouverture, pour conserver les bulles à l'intérieur ou éviter d'attirer les insectes. " La troisième catégorie, Design, a été remportée par l'Italienne Alessia Guerra.