L'impression 3D va-t-elle bientôt percer dans les usines où la production de masse industrielle est la norme ? Pour la société louvaniste Materialise, pionnière de l'impression 3D depuis 1990, la cause est entendue. L'entreprise technologique a annoncé la semaine dernière qu'elle prenait une option sur le rachat de son homologue américaine Link3D. Celle-ci est active dans les outils de flux de production pour la fabrication additive et les solutions MES (Manufacturing Execution Systems) afférentes.

Vers la production de masse

Ce rachat, dit Materialise, va aider les entreprises à faire évoluer leur capacité d'impression 3D pour la production en grand volume. Avec Link3D, Materialise se dote aussi d'une expertise dans le domaine de la technologie cloud. Shane Fox est le CEO de Link3D. L'intention est de conserver l'équipe de direction actuelle en fonction après l'éventuel rachat.

" En unissant nos forces avec celles de Link3D, nous ambitionnons de nous trouver en meilleure position encore pour offrir à nos clients des solutions leur permettant de planifier, gérer et optimiser leurs activités de fabrication additive ", a déclaré Fried Vancraen, fondateur et CEO de Materialise.

La technologie de Link3D est utilisée dans l'industrie manufacturière au sens large, en ce compris l'aéronautique et l'aérospatiale, le secteur automobile, les biens de grande consommation, le médical et l'énergie. Plus la technologie d'impression 3D est utilisée pour la production de masse, plus il devient complexe pour les entreprises manufacturières de l'intégrer dans leurs processus existants. Le logiciel MES de Link3D, dit Materialise, va aider à rationaliser la chaîne d'approvisionnement des entreprises manufacturières.

L'impression 3D va-t-elle bientôt percer dans les usines où la production de masse industrielle est la norme ? Pour la société louvaniste Materialise, pionnière de l'impression 3D depuis 1990, la cause est entendue. L'entreprise technologique a annoncé la semaine dernière qu'elle prenait une option sur le rachat de son homologue américaine Link3D. Celle-ci est active dans les outils de flux de production pour la fabrication additive et les solutions MES (Manufacturing Execution Systems) afférentes.Vers la production de masseCe rachat, dit Materialise, va aider les entreprises à faire évoluer leur capacité d'impression 3D pour la production en grand volume. Avec Link3D, Materialise se dote aussi d'une expertise dans le domaine de la technologie cloud. Shane Fox est le CEO de Link3D. L'intention est de conserver l'équipe de direction actuelle en fonction après l'éventuel rachat." En unissant nos forces avec celles de Link3D, nous ambitionnons de nous trouver en meilleure position encore pour offrir à nos clients des solutions leur permettant de planifier, gérer et optimiser leurs activités de fabrication additive ", a déclaré Fried Vancraen, fondateur et CEO de Materialise.La technologie de Link3D est utilisée dans l'industrie manufacturière au sens large, en ce compris l'aéronautique et l'aérospatiale, le secteur automobile, les biens de grande consommation, le médical et l'énergie. Plus la technologie d'impression 3D est utilisée pour la production de masse, plus il devient complexe pour les entreprises manufacturières de l'intégrer dans leurs processus existants. Le logiciel MES de Link3D, dit Materialise, va aider à rationaliser la chaîne d'approvisionnement des entreprises manufacturières.